Selon Jean Ping secrétaire général de l’Union Africaine, lorsque l’on dit aux gens de regarder la lune, les gens regardent plutôt le doigt qui la montre. Peuvent-ils s’empêcher de voir au zénith la lumière solaire qui éblouit plus qu’un pâle luminaire à moins de se bander les yeux ? Parmi nos 4 pays tous à nous (Sénégal, Mali, Guinée, Côte d’Ivoire), le Mali est seul à avoir frontière commune avec les 3 autres. Enfin ils alignent ensemble AAAA (Abdoulaye Wade, Amadou Toumani Touré, Alpha Kondé, Alassane Dramane Ouattara), pour hisser l’entité A : Afrique
Abdoulaye : le père du prophète Mohamed
Amadou : le fils d’Abdoulaye (Mohamed eut été annoncé Ahmad ou Amadou par Jésus)
Alassane : le petit fils du prophète Mohamed (Alhassane=le bon en arabe)
Alpha : Alpha Oméga, ou maître, ou inconnus du Coran : Alif, Lâm Mim, Alif lâm râ…
A+A+A+A=4A
AAAA=A x 1111
Si A=1 on a côte à côte 4 et 1 pour 41=Afrique (41 valeur numérique du mot Afrique en 1111)
Si A=4 alors on retrouve 4444 (symbole des 4444 basans de Ségou).
Si A reste variable, elle peut symboliser Afrique, Allah… La lettre A ne peut-elle pas représenter ces 4 inconnues du coran ‘Alif lâm mim’, ‘Alif lâm râ’, ‘Alif lâm mim sad’, ‘Alif lâm mim râ’, parmi 29 autres à ce jour ? Il n’y a rien d’omis dans le Coran, semble-t-il. N’est-ce pas que A peut symboliser aussi le bossu basan (balansa) de Ségou, accompagnateur des 4444 autres ?
Ségou comme éternel Secours dans les nombres, qui dit les langues les unes dans les autres
Ségou était déjà dans les nombres bien avant nous. Ce fut avec El Hadj Omar venant très loin du Fouta Toro, avant lui et après lui. Oui avant lui Cheick Omar, Ségou des Cheick, dit-on, c’est les 4 Ségou, les 12 villages du Dô, les 9 villages sarakolés. Ségou c’est les 4444 basans et 1 basan bossu (le tout mystérieux). De charlatans cordonniers, et d’ivresse énorme, évoquent même 39 pour Ségou. Savent-ils pour autant celui qui révéla tous ces nombres ? Le savent-ils Sékou celui-là qui affecta son nom à Ségou ? Celui-là qui promit de se révéler avec tous ces grands secrets, le savent-ils ? Il n’y a que de questions à eux en suspens avec eux, clique derrière les chérifs
Ségou vient de Sékou, Sékou étant la déformation du mot arabe Cheick. Cheick c’est le nom que portent grands saints au sommet de la sainteté (Cheick Abdoul Kader Jilani, Cheick Ahmad Tidiani, Cheick Hamalah…). On doit rappeler que le mot Cheick fut utilisé dans le coran par deux filles parlant avec Moise (Récit) ; là aussi employé pour nommer Jacob ou Israël par ses enfants (Josef)). Cheick qui veut dire vieux, peut être censé signifier mieux le plus vieux des vieux, le régent absolu au ciel. Les 3 célèbres Cheick connus au Mali sont fondateurs des 3 tendances (Kadria, Tidiania, Hamalisme), ils sont attendus en secoureur par leurs disciples, comme ils sont au dessus des autres saints, ce sont alors les sauveurs Gaoussou Guiassou. Ces 3 peuvent-ils ignorer Sékou de Ségou, celui qui reste à présent mystérieux et inconnu ? Si on sait lire dans les mots à partir des nombres on peut lire toutes langues dans une seule langue. Par exemple on peut lire l’arabe dans le français vice versa. C’est comme cela que l’on peut sortir Sékou du mystère à la grande satisfaction du ségovien crocheté, des ségoviens hurlant comme maliens incontrôlables. Dans le mot Sékou écrit avec Sécou 15369 on y lit en arabe : Abou 9 ‘Ligaoussou’ 1536 (pour père sauveur ou secoureur). On lit dans le mot secours 1536391 : les prophètes (???????) ‘anabiina’ 153 avec la lecture du Coran (?????? ??????) ‘biquira-at alcourâne’ 691 : en somme les prophètes venus avec la bonne lecture du Coran. On lit même clairement 536 messager (????) rassoulou 391 Issa (????) : messager Issa (Jésus).
Informatique est code génétique dans le métal
Comment le code génétique peut-il se retrouver dans le métal ? Mais " nous avons mis dans le fer une force redoutable… " Coran S57V25
Il y a des gens qui interprètent n’importe comment ce verset, or il est très intéressant et très bon de faire comprendre par tous que l’ordinateur est une machine en métal qui marche justement de la manière du code génétique, si on les sait tous les deux. Chacun d’eux repose sur un système de codage et une technique de décodage, ils sont tous deux tributaires d’une source énergétique interne ou externe. Vite, nous espérons rencontrer ensemble les informaticiens et les biologistes pour nous éclairer sur leur ressemblance structurelle et fonctionnelle. Certes, nous sommes pharmacien, biologiste en fait, mais nous savons à peine saisir un texte à l’ordinateur, alors il nous faut laisser à d’autres leur terrain de prédilection pour pouvoir être plus efficace.
Cependant, nul doute que les informaticiens vont vouloir révéler ces fameuses terres rares, nécessaires à la fabrication de l’ordinateur, que l’on ne retrouverait nulle part ailleurs qu’aux Etats-Unis d’Amérique. Ce qui est curieux ! Aussi vont-ils parler de la structure de montage et du fonctionnement (assembleur, unité centrale, processeur, clavier, écran, système binaire, présence ou non du courant électrique…). Le processeur, est selon eux " organe capable d’assurer le traitement complet d’une série informations ". Ce qui n’est ni plus ni moins que l’ADN
Quant aux biologistes, dont nous nous sentons plus proches, c’est cet ADN, c’est-à-dire Acide désoxyribonucléique surtout qu’ils vont vouloir décrire. La structure de l’ADN rappelle deux minuscules serpents crapules, parfaitement identiques, marchant côte à côte et très souvent qui se heurtent. On peut les symboliser comme serpent et œuf (O, S), pour rejoindre le fameux (0,1) du système binaire. Mais l’ADN est un codage initial d’aliments et d’énergie : ce sont en veille des sucres, des protéines, des lipides, des oligoéléments, des cofacteurs…, tous savamment imbriqués entre eux, alors pour faire deux grosses molécules identiques, aussi cousines que jamais, avec des liaisons phosphoriques aux fonctions énergétiques. C’est dans des conditions de vie favorables à la reproduction que l’ADN se met en marche. Et là il faut pouvoir les voir à l’œuvre, surtout avec les biochimistes, pour comprendre leur fonctionnement grâce aux Codons et aux Anticodons (autres cousins). N’est-ce pas que Codon et Anticodon, sont deux mots bambaras ? Nous saurons dire en ce temps réellement avec leur existence comme mots français si nous les savions ou pas. Tous diront certainement : Hé Codon, Anticodon, tiè antè nidon ! Vraiment vous ne saviez pas Codons et Anticodons, ce sont des lecteurs comme ceux de l’ordinateur, par quoi l’ADN et son arsenal de duplication, de repiquage (ARN), assurent la pérennité de l’être biologique et de son hérédité effarante, phénotypiquement parlant. L’ordinateur et le code génétique ont cette similitude incontestable, c’est leur dépendance effective d’une source énergétique, le courant électrique pour l’ordinateur, les liaisons phosphoriques énergétiques pour l’ADN. Peut-on savoir pour de bon que la source unique de toute énergie reste la lumière. Alors au niveau atomique tout être biologique ou non, ne peut être assimilé qu’à un être minéral tout en lumière tout en quark (plus petite particule de nos jours, découverte en 1963 par l’américain Murray Gell Man). Le confinement du quark réaffirme plus haut que la lumière est encore la grande énigme de la science. À la lumière, les scientifiques oseront lui conférer tous les pouvoirs possibles entre ciel et terre ; si on devait leur dire de faire allégeance à la lumière comme seule divinité, il n’y a pas de doute qu’ils le feront à l’immédiat. Peut-il s’agir le cas pour les autres, plus particulièrement de religieux qui ignorent la lumière ? Non certainement ! Mais quoi d’autre peut avoir une prépondérance sur la lumière, si ce n’est les Mot-Nombres, que nous venons de découvrir comme la parole omnisciente, omniprésente, omniprésente ? Il vous faut forcement lire Dans la Partie 2 titré " Dieu entre lumière et parole " (Bible et Coran). Donc à suivre… !
Dr Sanogo
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