“Je souhaite que le jeu institutionnel, majorité présidentielle-opposition, se déroule dans le respect mutuel, surtout dans la prise en compte des intérêts de ce peuple qui a tant souffert mais qui comporte en son sein, d’énormes ressources morales et surtout qui a démontré par le passé, sa capacité extraordinaire à faire face aux défis.”
Tiébilé Dramé, Secrétaire Général du Parena (Mars 1996)
“Quand on a été torturé ensemble, quand on a partagé les mêmes cellules de détention, qu’on ait fait partie des mêmes convois de déportation, d’exil intérieur, il est normal qu’on soit du même côté.”
Alpha Oumar Konaré, Président de la République 1997
« Nous devons mettre le Mali au-dessus de tout, car le pouvoir ne reviendra qu’à celui que Dieu et le peuple auront choisi ».
Thierno Hady Thiam (prêcheur) 1999
« Le drame de l’islam au Mali, c’est que les leaders islamiques se sont préoccupés de problèmes d’homme à homme plutôt que de Dieu. Quand l’amour de ce bas monde prédomine, quand la crainte de la pauvreté assaille, alors le vrai message de l’islam est terni ».
Choguel Maïga, Président du MPR Mai 1999
« Les chefs d’Etat et les hommes politiques qui sont contre les coups d’Etat, doivent travailler de manière à ce que les conditions du coup d’Etat ne soient pas réunies ».
Soumeylou Boubèye Maïga (2000)
« Les causes profondes de la déchirure des partis et de la grande confusion politique actuelle sont dues au fait qu’au lendemain du 26 Mars, des gens qui ne devraient jamais se retrouver dans le même camp ont été mis ensemble ».
Me Mountaga Tall, Président du CNID (2000)
« L’opposition est un exercice périlleux dans la mesure où on y joue sa liberté, sa carrière, sa fortune et parfois, sa vie ».
Issé Doucouré, (avril 2001)
“Les nouvelles générations sont venues au syndicalisme, parce qu’il y a des grands parleurs. Et le peuple ne croit qu’à celui qui crie haut.
Ils n’ont aucune formation, aucune expérience. Ils sont uniquement guidés par le profit. C’est pourquoi aujourd’hui, l’UNTM n’est que l’ombre d’elle-même”.
Professeur Yoro Diakité, Président du BARA 2003
« L’élection du Président du Parlement le 16 Septembre 2002 a fini de révéler toute la pourriture de la classe politique et sa capitulation devant l’envie gloutonne de partager le gâteau national. Car, des gens qui hier encore se détestaient royalement comme des pots pourris, ont fini par s’entendre sur le dos du peuple ».
Général ATT Président de la République (Juin 2003)
Quelque soit votre volonté de lutter contre la corruption, si vous avez une justice qui ne soit suit pas , vous perdez votre temps. »