Propos mémorables : Alpha O. Konaré Président de la République : 8 Juin 1992

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« Nos frontières ne devraient plus être comme ces postes frontières, livrées aux seules forces de l’ordre, devenant à l’occasion forces de suspicion et de contrôle, ces zones où l’on cherche à se faire peur, où l’on veut marquer les différences.

Ces espaces ont le plus besoin de gestion commune, concertée, de gestion à la base, où, place devrait se faire à une participation et un contrôle populaire plus grand, à une mise en commun plus prononcée de nos potentialités, de nos capacités, à une revitalisation de notre fraternité ».

 

Alpha Oumar Konaré, Président de la République 1997

« Nous devons mettre le Mali au-dessus de tout, car le pouvoir ne reviendra qu’à celui que Dieu et le peuple auront choisi ».

 

Choguel Maïga, Président du MPR Mai 1999

« Les chefs d’Etat et les hommes politiques qui sont contre les coups d’Etat, doivent travailler de manière à ce que les conditions du coup d’Etat ne soient pas réunies ».

 

Adama Thiam, chroniquer journal Le Républicain 1999

« Que le MPR mesure seulement l’offre de liberté dont il profite aujourd’hui par rapport à un passé pas si lointain où, il n’y avait pas d’alternative au caporalisme. Que beaucoup d’eau a coulé sous les points. Et que, quelque grande que soit la distance jusqu’au paradis, la descente aux enfers du pays est bien finie ».

 

Thierno Hady Thiam (prêcheur) 1999

« Le drame de l’islam au Mali, c’est que les leaders islamiques se sont préoccupés de problèmes d’homme à homme plutôt que de Dieu.

Quand l’amour de ce bas monde prédomine, quand la crainte de la pauvreté assaille, alors le vrai message de l’islam est terni ».

 

Soumeylou Boubèye Maïga (2000) 

« Les causes profondes de la déchirure des partis et de la grande confusion politique actuelle sont dues au fait qu’au lendemain du 26 Mars, des gens qui ne devraient jamais se retrouver dans le même camp ont été mis ensemble ».

 

Me Mountaga Tall, Président du CNID (2000)

« L’opposition est un exercice périlleux dans la mesure où on y joue sa liberté, sa carrière, sa fortune et parfois, sa vie ».

 

Ibrahim Boubacar Kéïta, candidat aux élections présidentielles 2002

« Tout est clair ! Ce qui a été annoncé, ce qui est annoncé depuis longtemps est en train de se réaliser. Tout, sauf Ibrahim Boubacar Kéïta. Toute la mascarade à laquelle nous aurons tous participé à notre corps défendant n’avait aucun autre but que la nomination prochaine de celui qui est souhaitable comme successeur ».

 

Professeur Yoro Diakité, Président du BARA 2003

« L’élection du Président du Parlement le 16 Septembre 2002 a fini de révéler toute la pourriture de la classe politique et sa capitulation devant l’envie gloutonne de partager le gâteau national. Car, des gens qui hier encore se détestaient royalement comme des pots pourris, ont fini par s’entendre sur le dos du peuple ».

 

Général ATT Président de la République (Juin 2003)

Quelque soit votre volonté de lutter contre la corruption, si vous avez une justice qui ne soit suit pas , vous perdez votre temps. »

 

Rassemblés par

Boubacar Sankaré

 

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1 commentaire

  1. Tout ce qui a été dit par ces grands hommes est vrai.
    Mais force est de constater que les mêmes maux gangrènent
    notre pays.rien n’a changé.les choses se sont empirées.
    Une chose est le salut de notre chère Afrique viendra
    de sa diaspora.wait and ses.

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