Zone de recasement des inondes de Missabougou – Yirimadjo : Un protégé du maire bouche la rue

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Ceux-ci disent avoir informer les autorités municipales. C’est le silence Radio Le comportement de cet homme qui barre toite une rue de ce quartier tracée par les géomètres de la mairie se  passe de tout commentaire et défraie la chronique . Les populations n’arrivent  pas à  comprendre  cet état de  fait d’un individu qui a refusé de déguerpir depuis 2008. D’où la grogne et le mécontentement des voisins  qui s’interrogent. Est-ce  là  la preuve flagrante de la complicité et  du laxisme des autorités  municipales qui se montrent  indifférentes face  à la situation ? Ces mêmes  autorités  politiques  ont-elles les mains trempées  dans cette occupation illicite, fermant la rue ?

En tout  cas, on a  tendance  à le  croire. Pourquoi   ne pas prendre des mesures pour démolir immédiatement ce bâtiment si réellement  l’autorité  compétente ne se reproche rien. C’est toute la problématique. Faut-il attende que les voisins immédiats passent à la confrontation, avec morts d’hommes pour que les responsables municipaux mairie se décide à trancher cette minime affaire d’occupation. Ils sont nombreux les habitants de cette zone de  recasement des inondés de Missabougou et de Yirimadjo  à croire  que cette situation découle du manque de responsabilité des décideurs les plus autorisés à chargés de l’application des lois et règlement.

L’arbre  ne doit pas  cacher la forêt. Seule la mairie de la commune VI dispose de moyens  légaux pour faire  déguerpir cet occupant qui menace à tout bout de champ les habitants de cette zone. Il dit à qui veut l’entendre que les autorités municipales ne peuvent pas démolir ce bâtiment bien que construit illégalement. Pourtant tous ceux qui occupaient la zone avant le morcellement légal ont vu leur bâtiment rasé par des gradeurs. De qui ont peur les autorités municipales ? Jusqu’à quand vont-elles se laissées défier par cet individu

Il est regrettable qu’aujourd’hui , au moment les plus hautes autorités de la république sont engagées  à assainir  le domaine du cadastre, que  des actes du genre se perpétuent au vu et au su des maires. Il urge  que des mesures  soient prises pour mettre fin à cette atteinte à l’ordre  public..

Jean GOÏTA

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