Le nouveau ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, Mohamed Salia Touré, s’est rendu au siège du Conseil national de la jeunesse (CNJ) hier mardi pour rassurer les responsables de cette faîtière de l’engagement du gouvernement de la transition à soutenir les questions d’emploi et de formation des jeunes. Pour la circonstance, un accueil chaleureux a été réservé par l’actuel président du CNJ, Amadou Diallo, et son bureau à l’hôte du jour.
Le quatrième président de la plus grande faitière des jeunes du Mali devenu aujourd’hui ministre a tenu à rassurer les jeunes de sa disponibilité à travailler main dans la main pour sortir le CNJ dans le cycle de la violence. De faire en sorte que la jeunesse malienne puisse s’imposer par la force des idées et non par la violence. C’est ainsi que le ministre de l’Emploi et de la Formation Professionnelle à exprimer sa disponibilité à travailler avec le Conseil national de la jeunesse pour la mise en œuvre d’un plan d’action. Il prévoit beaucoup d’activités lors de la transition sur l’emploi et la formation professionnelle dont la plupart seront axées à la jeunesse.
Pour sa part, le président du CNJ, Amadou Diallo, a félicité son ancien compagnon de lutte pour sa nomination à servir le Mali à cette haute fonction. « Votre nomination est un acte d’espoir pour l’ensemble des jeunes du pays. Elle prouve à suffisance que le Mali peut compter sur sa jeunesse. Mon bureau va s’atteler à servir le Mali », a déclaré le président du CNJ, ajoutant qu’ils veulent être des jeunes utiles pour leur pays. Avant de conclure en sollicitant une séance de travail avec le ministre Mohamed Salia Touré qui, selon lui, sera consacrée aux questions d’emplois et de la formation professionnelles des jeunes du Mali.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
Hunnnn…. l’autre vieux avait dédié tout son dernier quinquennat à l’emploi des jeunes. Nous connaissons tous la suite!
Le chômage des jeunes est un gaspillage de nos potentiels en ressources humaines, c’est le chemin le plus court à l’auto-destruction qu’un pays puisse entreprendre.
Pour combattre le chômage, un pays doit d’abord disposer des données démographiques et statistiques fiables sur l’emploi. C’est à partir de ces données que le gouvernement va efficacement orienter ou ajuster ses stratégies en matière d’éducation et d’emploi des jeunes.
Sans cela, toute autre démarche ne serait que du colmatage. Et le problème restera certainement entier….
Au Mali on parle beaucoup plus de La formation et L’emploi des jeunes. Cependant un autre phénomène plus gravisme existe dans les secteurs privés et publiques de la république. Il s’agit de l’exploitation des jeunes. Ces jeunes diplômés qui travaillent au Mali comme étant des contractuelles depuis plus de 5 ans dans l’administration publique et privée sans une regularisation de leurs situations. Oh quelle aberration et exploitation de l’homme par l’homme. Il temps que le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle prend a bras le corps le volet emploi equitable et sans discrimination pour épanouissement de la jeunesse Malienne. J’exhorte le nouveau ministre à prendre son courage à deux mains pour résoudre ce problème au Mali et de donner un sens a sa carrière politique. Bon vent Monsieur le ministre les jeunes diplômes contractuels compte sur toi pour un meilleur avenir.
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BRAVO DU COURAGE A MONSIEUR LE MINISTRE
NOUS VOUS ACCOMPAGNERONS.
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