Organisé du 4 au 5 février 2021, par l’Association des Professionnels de la presse en ligne (Appel-Mali), avec le soutien de Freepress Unilimted cet atelier visait à outiller les hommes de media sur le concept de la Covid-19 pour mieux sensibiliser la population sur les gestes barrières contre cette pandémie. Il avait comme thème : « que doit-on savoir, que doit-on faire ? ». Il s’est tenu dans la salle de conférence de l’Appel Mali, sise à Hamdallaye ACI-2000. Les travaux d’ouverture de cet atelier étaient présidés par le président de ladite association, Modibo Fofana en présence de son Secrétaire général, Seybou Keïta.
A noter qu’Appel Mali est la principale faitière de la presse en ligne qui contribue au renforcement des capacités des journalistes de la presse écrite, en ligne et audiovisuel dans les régions et district de Bamako.
Au cours de cette formation plusieurs thématiques ont été abordées par les experts en la matière. Au nombre desquelles on peut citer : problématique du covid-19, cas de notre pays, comprendre et se protéger, état des lieux de covid-19, le vaccin et la vaccination au Mali. Cadre institutionnel en règle au Mali pour la prévention et la prise en charge de la maladie à coronavirus.
Le paneliste principal était le Dr Abdoulaye Keïta, spécialiste INPS et Biologiste chef de division INSP.
Selon Dr Keïta le covid-19 est une infection aiguë des voies respiratoires, très contagieuse, potentiellement mortelle, due à un virus appelé SRAS-COV-2. Parlant étymologiquement du coronavirus en latin, dit-il, le Coronavirus veut dire coronam virus (virus à couronne).Du début de l’épidémie SRAS-COV-2 dans notre pays le 25 mars 2020, à la date du 03 février 2021 la structure sanitaire ont enregistré 8119 cas confirmés dont 266 et 67 décès, 6011 guéris.
En outre, il a évoqué le concept du vaccin à base de protéines recombinantes et ses vecteurs. A l’en croire, ce vaccin est sûr et induit une réponse immunitaire précise, une faible immunogénicité et peut nécessiter l’ajout d’adjuvants. D’après lui, certains types de vaccins de nouvelle génération n’étaient pas produits à grande échelle auparavant. Le SRAS-COV-2 possède, souligne-t-il, quatre protéines structurelles principales : protéine de pointe(S) ; d’enveloppe (E) ; membrane (M) et de nucléocapside (N). Les protéines S sont situées à la surface externe des particules virales et peuvent se lier à ACE2 sur la surface cellulaire, permettant une endocytose du virus méditée par le récepteur.
Le thème sur la Problématique du traitement d’un sujet du covid-19 a été présenté par M. David Dembélé spécialiste en journalisme d’investigation. Selon lui, la sécurité des journalistes et le devoir d’informer sont au cœur de la problématique du covid-19. A lui d’affirmer que la pandémie du coronavirus a plongé les hommes de media dans une nouvelle situation qui n’est pas sans incidence sur la façon de travailler.
Dans la même dynamique, sur le traitement du sujet du covid-19 il expliquera à ses confères et consœurs à effectuer des recherches en sources ouvertes. C’est une manière de contourner les informations officielles et de pouvoir construire ses propres donnés par rapport à un sujet d’intérêt public. « Enquêter en sources ouvertes, c’est trouver une autre façon de vérifier des informations que l’on tente de nous faire avaler et donc faire avaler à l’opinion publique » a-t- il fait savoir aux journalistes. Avant d’ajouter que c’est une manière d’échapper à la manipulation de l’information à des fins inavouées, cas des chiffres de la contamination au covid-19. Il a aussi insisté sur la vérification et l’authentification des informations, qui est la phase culminante du travail des journalistes.
Par Fatoumata Coulibaly
Pfizer a retiré sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin Covid-19 en Inde, a déclaré la société vendredi 5 février 2021.
La société américaine, qui a été le premier fabricant de médicaments à demander une autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin Covid-19 en Inde, a rencontré mercredi le régulateur des médicaments du pays et la décision a été prise après cela, a déclaré la société.
« Sur la base des délibérations de la réunion et de notre compréhension des informations supplémentaires dont le régulateur pourrait avoir besoin, la société a décidé de retirer sa demande pour le moment », a-t-il déclaré dans un communiqué à Reuters.
Pfizer avait demandé l’autorisation de son vaccin en Inde à la fin de l’année dernière, mais le gouvernement a approuvé en janvier deux injections beaucoup moins chères.
Le journal Economic Times a cité une source gouvernementale disant que Pfizer souhaitait une dérogation pour un essai clinique pour son vaccin, développé conjointement avec la société allemande BioNTech, mais le régulateur a insisté sur une étude de transition en Inde.
Les experts voulaient voir comment le vaccin fonctionnerait parmi la population indienne avant qu’il ne puisse être autorisé pour une utilisation générale dans le pays.
Le chef d’un panel gouvernemental sur la stratégie vaccinale, Vinod K. Paul, a déclaré à Reuters qu’un essai de transition en Inde est une « condition préalable » pour que tout vaccin soit autorisé dans le pays.
L’Inde a lancé une campagne de vaccination à l’échelle nationale le 16 janvier, en utilisant une version fabriquée localement du vaccin AstraZeneca-Oxford et un vaccin appelé Covaxin, fabriqué par une société pharmaceutique indienne, Bharat Biotech.
source : https://www.francesoir.fr/societe-sante/
NB:
1 – LE vaccin Covid-19 DE Pfizer ET BioNTech EST DE LA TECHNOLOGIE ARN-MESSAGER.
2 – Pfizer souhaitait une dérogation pour un essai clinique pour son vaccin, ET CECI EST UN ACTE
CRIMINEL, UN CRIME CONTRE LA VIE, CONTRE L’ HUMANITÉ.
OUI, Pfizer AMÉRICAIN ET BioNTech ALLEMAND PROJETENT UN GÉNOCIDE Á L’ ÉCHELLE PLANÉTAIRE….
DES DONNÉES DISPONIBLES JUSQUE LÁ, UN AN, CE COVID-19 EST DE LOIN LA MOINS MORTELLE PARMI TOUTES LES MALADIES PRÉSENTES DANS NOS PAYS.
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