Le vieillissement de la population, en l’occurrence celle active, est une problématique à laquelle la plupart des gouvernements africains ont répondu en ajustant leur politique d’admission à la retraite. Au Rwanda, par exemple, l’âge d’admission à la retraite est de 65 ans. Dans la sous-région, la Côte d’Ivoire est passée de 55 à 65 ans en 2012. Ces temps-ci, c’est au tour de notre pays de rentrer dans la danse. Il a ainsi mis en place une commission technique d’experts qui est en train de plancher sur un nouveau projet de loi sur l’âge de départ à la retraite.
L’administration malienne sera-t-elle confrontée à un problème d’agents qualifiés ? Si oui, comment faire face à la demande de notre administration ? C’est au vu de tous ces défis qui s’imposent à nous que le ministère en charge de la Fonction publique a mis en place un comité d’experts qui est en train de plancher sur un projet de loi. Celui-ci concerne l’âge de la retraite. C’est une manière de prendre toutes les dispositions nécessaires pour parer au manque de ressources humaines au sein de notre administration publique. Ainsi, des débats quotidiens et houleux meubles le quotidien des techniciens qui planchent sur cette loi, car certains sont pour l’augmentation de l’âge à la retraite quand d’autres sont contre cette option. Et ces derniers argumentent leur position par le fait que la demande d’emploi dans notre pays a atteint son paroxysme, surtout au niveau de la jeunesse. Ce projet de loi en élaboration par les techniciens du ministère en charge de la Fonction publique, prendra surement en compte les conclusions des nombreuses réunions interministérielles. Le texte sera envoyé au Secrétariat général du Gouvernement pour être discuté et programmé pour examen en Conseil des ministres, sans oublier son passage à l’Assemblée nationale. La condition pour faire valoir son droit à la retraite sera prise en compte dans le nouveau texte, surtout la condition de l’âge et celle de l’ancienneté de service. La ministre en charge de la Fonction publique, Mme Diarra Racky Talla, veut donner du sang neuf à l’administration publique, afin de positionner le Mali dans le concert des nations en matière de reforme de l’administration au sein de la Cedeao.
En raison du contexte des recrutements dans la fonction publique au Mali, et sur la base des textes en vigueur, l’administration malienne comptera à l’horizon 2020 de cadres de plus de 30 voire 35 ans d’expérience. Et de pareils agissements illustrent fort bien le challenge des chefs d’Etat africains, de se conformer aux réalités actuelles de notre monde. Cela, afin de ne pas pervertir la nature objective des réformes publiques qui sont supposées être des outils de règlement de problèmes d’ordre public et faire appel à de nouvelles compétences jeunes. Il s’agit en occurrence de réformer une loi vieille de près de 30 ans, et antérieure au renouveau démocratique du Mali, qui comporte des dispositions aujourd’hui inadaptées aux exigences de performance de l’administration publique.
Paul N’GUESSAN
Hors sujet.
L’on devrait attribuer les logement sociaux, en priorité aux militaires sans distinction de rang ou de grade, aux Gendarmes, aux Policiers, aux Douaniers, aux Gardes forestiers… aux Enseignants, aux Personnels médical d’Etat et à tous les Fonctionnaires ‘Etat… Mais pour s’assurer du payement régulier des loyers… Que l’ETAT face en sorte de retenir à la source… c’est à dire retenir l’équivalent mensuel du loyer sur le salaire de chaque Fonctionnaire qui a acquis un logement social. Comme ça, non seulement on est sûr que les loyers seront payés…, mais aussi et surtout, cela peut contribuer à améliorer la vie de nos Fonctionnaires et de ce fait, les met à l’abri du besoin et de la corruption…!
Et , donner la possibilité aussi aux Citoyens non Fonctionnaires, de pouvoir se loger dans les logements sociaux…!
Madame le ministre rendez votre tablier, combien de jeunes n’ont pas d”emploi, le chomage est un phénomène crucial pour les gouvernants donc madame premièrement vous ne maitrisez pas votre boite,ensuite vous etes hors jeu
Je ne travaillerais plus au delà de ľage actuel de retraite,il faut profiter de sa retraite
Félicitation pour Mme le Ministre et l’actuel Gouvernement, si la nouvelle reforme relative à l’âge de la retraite au Mali, n’est proposée et mise en place sous conditions obscures et qui pourraient tout compromettre après. Et puis, il est préférable plus que certaines pratiques qui sévissent depuis plus de deux décennies : signature des contrats avec leur service après être admis à la retraite. Aussi, à ces nouvelles vieilles jeunes recrues, de s’atteler à bien former les plus jeunes pour assurer la relève comme ils pensent soutenir, souvent. Et à ces jeunes fonctionnaires d’y mettre le maximum afin de relever divers défis auxquels ils feront face et cela pour le bonheur du contribuable Mali. qui somme toute, supporte le fardeau.
il faut comprendre avec le journaliste certain pense que c’est déjà fait alors c’est au contraire.Le gouvernement est la pour la bonne cause de tous les Maliens de Kayes à Kidal.Donc faisons tout pour leurs aides a levé les défis.pour que le bateau Mali bouge et Il bouge avec l’union de nous dernier le Gouvernement.
Je vous avais bien averti. :hangman: :hangman:
Sinon Comment Comprendre :
– que le Ministre de la Fonction Publique bloque les requêtes de formations des jeunes fonctionnaires et même temps qu’on accroît l’âge d’aller à retraite;
– qu’on refuse de recruter des jeunes au profit des jeunes. :pintade: :pintade:
Quand l’expérience de vie augmente quoi de plus normal que de relever l’âge à la retraite. Les mêmes jeunes vont bénéficier du même avantage. Oui les jeunes mais de quelle compétence? le gain facile la léger té dans les prises de décisions sont le quotidien de la jeunesse mais surtout la discipline sans ce dernier, rien n’est possible
les jeunes sont formés et n’ont pas d’emploi, et nous dit que “”Le vieillissement de la population, en l’occurrence celle active, est une problématique à laquelle la plupart des gouvernements africains ont répondu en ajustant leur politique d’admission à la retraite””.
L’Afrique est connu comme un continent jeune. On doit dégager la place pour les jeunes compétents. les vieux n’ont plus rien à nous prouver
Vraiment c’est dommage vous ne voulez pas laisser la place à vos enfants pour qu’ils puissent exprimer leur talent Heyi allah. Mais ce que vous ne savez pas Dieu est là et il vous observe. Aujourd’hui votre rôle est de former les jeunes afin de leur donner un avenir meilleur pour qu’ils puissent rehausser ce pays allah akbar
Du n’importe quoi, la jeunesse doit ouvrir les yeux.
Au Mali les évènements se construisent sur la base de défense des intérêts de quelques individus, c’est vraiment dommage, cette situation doit être bannie de toutes ses forces pour le bonheur de l’ensemble des maliens. Cette situation devrait être mise en œuvre depuis plus de trois, si les choses étaient justes et correctes, mais les autorités attendent que seuls leurs poulains soient dans cette situation pour réagir, cela est fort dommage pour un grand pays que nous sommes. Qu’Allah le tout puissant aide et protège notre très cher Mali au bord du précipice.
NB: Il faut que les autorités de ce pays regardent les choses de façon objective et non de façon subjective qui est celle qui prime aujourd’hui dans ce pays. Il y a toujours un moment “T” pour la mise en œuvre d’une action de ce genre, dépasser ce moment les autorités du pays investirons un surtravail qu’un gain de rendement espéré ne justifie pas. C’est vraiment dommageable pour le développement socioéconomique de ce pays.
SIRTRA a tout déjà dit et j’appelle ça, le raisonnement logique en concept de philosophie (raisonnement scientifique) : l’espérance de vie = K x l’âge de la retraite et si je me traduit en littérature, cela signifie que l’espérance de vie devrait être proportionnelle à l’âge de la retraite (il a dû faire une erreur en écrivant l’expérience de la vie). Et je sais compter sur IBK et son gouvernement pour cette innovation d’ici fin 2016 ! Par ce que nous nous sommes battus pour lui pour cela; et il devra mettre ensuite et davantage au travail, notre administration.
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