L'arrêté de réintégration des ex-radiés de la fonction publique signé
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Bocar Moussa Diarra[/caption]
Après la signature solennelle du protocole d'accord entre le gouvernement et les 263 ex-radiés de la fonction publique en vue de leur réintégration il y a de cela une dizaine de jours, le ministre du Travail et de la Fonction publique Bocar Moussa Diarra aurait signé le lundi dernier l'arrêté portant leur régularisation administrative.
A travers la signature de ce document dont la ventilation a déjà commencé au niveau des différents départements ministériels, on peut affirmer sans risque de se tromper que la reprise de service de ces ex-radiés n'est qu'une question de jour. Car c'était le dernier document administratif restant auquel la prise du service de ces agents de l'Etat était conditionnée.
La Rédaction
Bocar Moussa Diarra[/caption]
Après la signature solennelle du protocole d'accord entre le gouvernement et les 263 ex-radiés de la fonction publique en vue de leur réintégration il y a de cela une dizaine de jours, le ministre du Travail et de la Fonction publique Bocar Moussa Diarra aurait signé le lundi dernier l'arrêté portant leur régularisation administrative.
A travers la signature de ce document dont la ventilation a déjà commencé au niveau des différents départements ministériels, on peut affirmer sans risque de se tromper que la reprise de service de ces ex-radiés n'est qu'une question de jour. Car c'était le dernier document administratif restant auquel la prise du service de ces agents de l'Etat était conditionnée.
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Observateur100Je pense qu'à un moment donné l’État doit assumer toutes ses responsabilités jusqu'au bout pour prouver que gérer un pays c'est aussi rester ferme dans ses positions.Malheureusement, cela n'a pas été le cas dans la gestion de l'affaire des radiés de la fonction publique. Par cet acte, l’État a encouragé la corruption, la malhonnêteté, le faux et le favoritisme dans toutes ses manifestations. Avec cette décision, ces pratiques viennent désormais d'être institutionnalisées au Mali. Qui pouvait y croire? -
MalibaHa maliba tant qu'on se ne dit pas la verité le mali ne bougera pas, cette insertion est une porte ouverte à tout genre de mal, donc sans il ya les maliens de premier et second rang, combien sont les jeunes en chomages, faute moyen, je declare " les jeunes du Mali levons nous pour lutter sinon ils n'auront de changement" vive le Mali dans la paix et dansd l'égalité. Que dieu binisse le Mali
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NgolokunanLa Cour suprême du Mali n'est pas la dernière juridiction au Mali. Il suffit qu'une personne lésée par cette réintégration porte l'affaire devant la cour de justice de la CEDEAO pour faire annuler l'intégration. Confirmer par un avis juridique d'un avocat SVP.
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unhiDonc il ne peut que se venger ce monsieur contre les jeunes.
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ouousachez que Mamadou Namory est un enfant naturel. je suis son camarade d'enfance.
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tientiguiMais l'Histoire va retenir un jour que un DIARRA,ministre de fonction publique, un MARA, Premier ministre a intégré des voleurs pris la main dans le sac dans la fonction publique. Mais ces voleurs on va les dirent lors des rebats politiques comment ils ont intégré la fonction publique. Même leur enfants seront au courant. Ils on vu comment Soumaîla CISSE a été attaqué à l'Assemblee Nationale de voleur.S'il sont honnete ils doivent eviter de revenir dans les services
