Pour rappel, l’objectif de cette rencontre avec le Ministre était de réclamer la régularisation de leur situation administrative, afin de les reclasser dans leurs catégories respectives. Le chef du département, Mme Diarra Raky Talla a donné des assurances aux membres du collectif pour la régularisation de leur statut administratif.
Par ailleurs, à sa sortie d’audience, M. Fassiriman Diarra, président du collectif, a aussi soulagé ses camarades de la bonne foi de Mme la ministre pour la gestion de ce dossier.
En outre, le Ministre du Travail, et de la Fonction Publique a donné son engagement personnel, et a indiqué qu’il y a des préalables législatifs, réglementaires et administratifs à entreprendre pour le changement de leur statut. Elle a promis que les dossiers concernés par cette situation seront examinés sur toute l’étendue du territoire, et de façon efficace pour mieux rétablir les victimes dans leur droit. Cette situation, faut-il le rappeler, concerne plus de 3.076 agents de différents services de l’État.
Enfin, le Ministère en charge du Travail et de la Fonction Publique est très fortement sollicité pour la diligence rapide des suites à donner à ce dossier explosif.
Aboubacar BERTHÉ
Opportunistes
Monsieur ”’toi aussi” vous avez inutilement de la morve! Quand on commet une faute on la corrige et on fait en sorte qu’elle ne recommence pas. Ne badinez pas avec l’avenir de ces jeunes et ne mélangez pas les genres. Il ne s’agit ni de vengeance, ni de rancune. Laissez l’administration se prononcer sur ses propres actes.
Mr Toi aussi, tu exagères en te trompant sur le fond de la chose et en ne maitrisant pas ce que vous vous avancez mais renseignez bien.
Voila ça recommence. Les mêmes scènes et les mêmes spectacles selon Bernard B DADIE dans « la rentrée des classes ». Ceux qui parlent de droit pour ces gens doivent savoir que c’est en violation du principe sacro saint de légalité des citoyens devant les emplois publics que ces contractuels ont été recrutés et souvent en l’absence de besoin en personnel. Quand on entend les commentaires des journalistes sur ce dossier on est sur le point de faire une crise de syncope. La plupart de ces gens sont allés payer des sinécures à la fonction publique ou c’est parce qu’ils sont des fils de ministres, de Directeurs nationaux, de conseillers de la cour suprême, de la cour constitutionnelle, de députés, et que sais-je encore ? Qu’est ce qu’on n’a pas dit ici à propos des 263 radiés. Mais malheureusement, parce que c’est vraiment malheureux, n’ont-ils pas gagné ? L’Etat malien ne s’est-il pas mis à genou, les deux mains au dos pour les prier de le pardonner en reconnaissant son tort ? Mais, on dit qu’on est libre de souffrir dans le silence. Nous qui parlons pour défendre les jeunes diplômés sans emplois avons déjà passé au concours de la fonction publique hein ! Loin de moi l’intention d’inciter à la violence, mais, les jeunes diplômés sans emplois doivent se lever et dire non. Ce problème a commencé avec l’intégration des contractuels dans la fonction publique. C’est ce qu’il ne fallait pas. Mais, il y a pire encore au niveau des EPA. Allez-y voir à la CANAM, à l’IER, à la Caisse des retraites, à l’ANAZER, ceux qui sont là sont les fils de qui ? Pourquoi les Abdoul Wahab BERTHE qui devaient passer sur une potence se la coulent douce. Pour terminer, le système de Wahab c’était quoi ? C’est que quand un département ministériel exprimait le besoin pour cinq agents contractuels il lui envoyait 50 agents puisque lui aussi il a des gens avec qui il a pris de l’argent à glisser là dedans. Voilà c’est ça le mali, le changement n’est pas pour aujourd’hui hein. Et puis, l’actuel ministre qu’est ce qu’elle peut amener si ce n’est son charme.
Voila ça recommence. Les mêmes scènes et les mêmes spectacles selon Bernard B DADIE dans “la rentrée des classes”. Ceux qui parlent de droit pour ces gens doivent savoir que c’est en violation du principe sacro saint de légalité des citoyens devant les emplois publics que ces contractuels ont été recrutés et souvent en l’absence de besoin en personnel. Quand on entend les commentaires des journalistes sur ce dossier on est sur le point de faire une crise syncope. La plupart de ces gens sont allés payé des sinécures à la fonction publique ou c’est parce qu’ils sont des fils de ministres, de Directeurs nationaux, de conseillers de la cour suprême, de la cour constitutionnelle, de députés, et que sais-je encore ? Qu’est ce qu’on a pas dit ici à propos des 263 radiés. Mais malheureusement, parce que c’est vraiment malheureux, n’ont-ils pas gagné ? L’Etat malien ne s’est-il pas mis à genou, les deux mains au dos pour les prier de le pardonner en reconnaissant son tord ? Mais on dit qu’on est libre de souffrir dans le silence. Nous qui parlons pour défendre les jeunes diplômés sans emplois avons déjà passé au concours de la fonction publique hein ! Loin de moi l’intention d’inciter à la violence, mais les jeunes diplômés sans emplois doivent se lever et dire non. Ce problème a commencer avec l’intégration des contractuels dans la fonction publique. C’est ce qu’il ne fallait pas. Mais, il y a pire encore au niveau des EPA. Allez-y voir à la CANAM, à l’IER, à la Caisse des retraites, à l’ANAZER, ceux qui sont là sont les fils de qui ? Pourquoi les Abdoul Wahab BERTHE qui devaient passer sur une potence se la coule douce. Pour terminer le système de Wahab c’était quoi. C’est que quand un département ministériel exprimait le besoin pour cinq agents contractuels il vous envoyait 50 agents puisque eux aussi ils ont des gens avec qui ils ont pris de l’argent à glisser là dedans. Voilà c’est ça le mali, le changement n’est pas pour aujourd’hui hein. Et puis, l’actuel ministre qu’est qu’elle amener si ce n’est son charme.
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