Crie alarmant du jeune diplômé malien

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Comment trouver un emploi ? C’est cette angoissante question que tous les  jeunes maliens  se posent (surtout ceux dont les parents sont méconnus et pauvres financièrement et politiquement),  après les études .Qu’a donc fait la jeunesse malienne pour mériter un tel sors ? Est-ce une formation mal acquise ou un abandon de la jeunesse par l’état ? Que faut-il faire pour mériter «  une place au soleil » ?
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rnIl est temps qu’on situe le problème sinon la société malienne risque d’être bouleverser dans les jours à venir.
rn    La jeunesse est l’avenir de toute nation, la force vive de toute société surtout la notre le (Mali) dont la couche majoritaire de la population est jeune. Cette société malienne, avant l’arrivée du colonisateur était nerveusement organisée selon nos mœurs : les fils doivent prendre la relève lorsque le père vieillit et des dispositions étaient prises pour la cause. Généralement les parents apprenaient aux enfants en plus de la culture du courage, de l’endurance dans l’effort et de la persévérance. , les métiers  qu’ils exerçaient eux même, L’arrivée du colonisateur à tout chambouler, car ils nous ont montrés une autre manière de gérer un état, une autre manière de travailler, c’est-à-dire une autre manière de vivre. Aux yeux de nos contemporains pour réussir il faut aller à l’école du colonisateur le plus souvent pour pouvoir travailler soit dans les structures de l’état qu’ils nous ont imposé soit avec les instruments aussi imposés.
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rn Ces raisons poussent les parents à aller inscrire les enfants à l’école depuis l’age de 7 ans afin qu’ils puissent s’instruire et devenir un grand quelqu’un dans l’avenir de par  ce geste les parents se privent, de leur fortunes, d’autres de leurs bras valide, en se sacrifiant  pour permettre aux enfants de bien effectuer ces études. Tout en espérant  sur  une éventuelle réussite de ces écoliers, qui passe nécessairement par l’obtention d’un emploi généralement attribué par l’état ou par les sociétés  privées. Ces élèves passent au moins 9 ans sur le banc pour obtenir leur premier diplôme avec lequel on ne peut pas travailler mais uniquement pour accéder aux études secondaires générales ou aux  études techniques et professionnelles. Les orientés de la formation technique et professionnelle doivent encore attendre 4 ans pour  décrocher un diplôme professionnel.
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rnCeux cela qui seront orientés vers l’enseignement secondaire et général sont destinés à une formation supérieure qui va de 7 à 12 ans d’étude. Dieu seul sait les souffrances (veiller, faim, marche longue, coup de fouet pour ne citer que ceux) que les jeunes subissent pour atteindre ces différents niveaux  d’étude.
rnLe malheur est de voir encore ces jeunes courir, pendant des années à la recherche d’un emploi tan disque les études  leurs ont coûter au moins 12 ans de vie ajouter au temps de chômage, on fait déjà la moitié de sa vie étant inactif  .Quelle peine perdue ?
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rn  Les jeunes diplômés on les rencontre un peu partout, avec des classieux remplis de paparazzi  a la quête d’emploi, ils sont généralement sujets des caprices des secrétaires de bureau. Ils ne sourient qu’en lisant, généralement autour du thé (sous l’œil consterné des parents qui ne voit pas leur jour de repos arrivée avant leur mort )  une annonce d’offre d’emploi dans un journal qui leur procure un brin d’espoir très rarement concrétisé
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rnDans les clauses du contrat social il est du devoir de l’état de former ces citoyens et de pouvoir les rendre opérationnels. Pour cela l’état doit mettre sur pied des politiques et des structures capables d’absorber le chômage. Certes notre état le Mali s’est manifesté dans ce sens dans ces dernières décennies en organisant des concours de recrutement massif dans les différents corps de l’armée( police, gendarmerie, garde, etc. Et en créant en plus de l’Agence Nationale pour la Promotion de l’Emploi ( ANPE)    
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rnLe Guide
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