Vol, attaque à main armée, commerce de cannabis, viols… les bandits à grand chemin ont réussi à transformer le quartier Yorodiambougou en véritable centre d’affaires louches ces derniers temps. De plus en plus, des citoyens se font braquer, parfois dans des conditions particulièrement violentes pouvant aller jusqu’à causer la mort.
Lundi 1er janvier, une fille de 8 ans s’est faite violée par un jeune homme d’environ une trentaine d’années. Fille d’un aventurier, elle avait été envoyée par sa mère chez un tailleur du quartier pour de besoin de modèle d’habit. Le présumé criminel l’a interceptée sur le chemin avant de la conduire dans une maison inachevée. Après avoir forcée la fille, le violeur pédophile a menacé la fille de ne rien raconter à sa mère. Touchée par l’acte criminel, la fille n’a pu se tenir devant ses parents. C’est ainsi que les parents de la fille ont mené une recherche poussée avant de cueillir le violeur pédophile auprès d’un vendeur de café du quartier. La colère est montée. La population réclame sa peau. Mais grâce à un sergent de police, il a été mis à la disposition de la police. Cet acte a été précédé d’un autre cas en moins d’un mois. Pour les témoins, il n’est pas aisé de se promener ou de détenir un objet important par les temps qui courent dans ce quartier.
Les habitants de Yorodiambougou traversent une passe difficile, à cause de l’insécurité qui pèse comme une chape de plomb sur les paisibles citoyens. Et cela à toutes les heures. Vols de motos, braquages, pillages de boutiques, attaques à main armée sont devenus le lot quotidien des populations concernées.
Des groupuscules de bandits sévissent dans presque tous les coins et recoins du quartier. Pas un jour ne passe sans que des cas d’agressions, de dépossession de biens ou même d’assassinats ne soient signalés dans les différents commissariats de police de la Commune VI.
Les usagers noctambules et les boutiquiers encaissent sérieusement le coup. Et les populations des quartiers périphériques, notamment Missabougou, Sirakoro-Méguétana, Yirimadio ne peuvent pas le démentir. Ils se refugient généralement dans les concessions non achevées. C’est pourquoi les personnes sensibles les considèrent dans le lot des couches défavorisées. Mais derrière l’apparence se cachent les vraies intensions des instruits.
Selon nos témoignages, la plupart à moins de 25 ans. La manipulation des armes n’est plus un mystère pour ces jeunes ainsi que les produits hallucinogènes comme le cannabis. Dès 21h, les coins prennent la couleur d’un panorama menaçant et inadapté à toutes personnes sensibles. « Ces actes crapuleux dépassent mon imagination, les rues servent de cadre pour braquer les populations », a fulminé une victime.
La thèse est du reste partagée par cet habitant. « Ici, les opérations se passent de tout commentaire. Presque tous les redoutables groupes de malfrats mis sous les verrous ont été arrêtés dans ce quartier. Les boutiques sont braquées en plein jour et les motocyclistes ne manquent pas à l’appel des bandits. Ils sont le plus souvent dépossédés de leur engin. Et cela sous le regard indifférent des agents de sécurité », déclare un boutiquier.
Joint par nos soins, un policier a été clair et précis dans ses propos. « La sécurité a un prix, notre commissariat est privé de tout pour lutter contre l’insécurité. Les commissariats n’ont pas assez de moyens pour faire face aux défis. On est obligé de faire les patrouilles à moto. Or, nous avons une zone très vaste : Yirimadio, les Logements sociaux, Missabougou, Sirakoro-Méguétana et une partie de Niamakoro. Un commissariat doit avoir de véhicules et du carburant pour mener à bien ses opérations », a-t-il déploré. Avant d’ajouter que malgré ses multiples problèmes, ils arrivent à faire de leur mieux.
Cette recrudescence des attaques à main armée avec une multitude de petits butins contribue à renforcer le sentiment d’insécurité. On peut même dire un problème de sécurité et de santé. Car, si le braquage est un acte criminel, il doit aussi être considéré comme un acte traumatique qui peut mettre en péril durablement la santé des victimes.
Les habitants desdites localités interpellent le ministre de la Sécurité et de l’Intérieur à réagir face à cette situation.
B.S.
Mais attend la ccr passe toute la journee a recuperer les 1000 et 500f aux citoyens maliens et vous dites que la voiture manque de carburant vous vous voutez de nous ou le commissaire c’est un crapule
Flagrant délit de collusion : « Le Droit de savoir », sur TF1, dépeint les Gitans de La Renaude, à Marseille, comme des sauvages. Après ça, on pourrait croire que les expulser de leur antre, c’est faire œuvre humanitaire. Aubaine : leur présence gêne un investissement immobilier de… Bouygues, propriétaire de TF1.
Dominique, du comité chômeurs CGT, est folle de rage. Les larmes aux yeux, elle raconte comment elle a été approchée par Michaëlle Gagnet, reporter mercenaire de TF1. « Elle m’a utilisée pour s’introduire dans la cité. Elle a fait croire aux Gitans qu’elle allait faire un reportage en leur faveur. Elle a fait des cadeaux, donné de l’argent et filmé le mariage de la fille de Dolorès. Maintenant, toute la France a vu la scène de la virginité, alors que c’est tabou. » Dominique a envoyé un mail à la journaliste : « Tu m’avais demandé si je m’intéressais aux Gitans par pitié : c’est de toi que j’ai pitié aujourd’hui. »
https://www.acrimed.org/TF1-se-paie-des-Gitans-CQFD
Villeneuve: « En France, l’arabe de service ne doit pas sortir de son rang » « Aujourd’hui Benalla est cornaqué par Charles Villeneuve qui le présente partout comme son grand ami », assure Francelet.
A 26 ans, Alexandre Benalla, fraîchement débarqué par l’Elysée où il occupait jusqu’alors les fonctions d’adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron et d’homme à tout faire de la sécurité, est devenu un personnage radioactif et fascinant. De ceux que le tout-Paris des dîners mondains s’arrache, mais avec lequel on hésite néanmoins à s’afficher.
Villeneuve: « En France, l’arabe de service ne doit pas sortir de son rang »
« Aujourd’hui Benalla est cornaqué par Charles Villeneuve qui le présente partout comme son grand ami », assure Francelet. Contacté par L’Express, cet ancien militaire, également éphémère patron du PSG et ancien producteur du Droit de savoir, affirme n’être mû que par pur intérêt professionnel et journalistique dans son rapprochement avec l’ancien protégé du président de la République. « Je voulais connaître ce personnage qui m’avait impressionné par son charisme et sa prestance sur TF1 », explique Charles Villeneuve, un proche du nouveau patron de la communication de l’Elysée Sylvain Fort.
ON DIT “BANDIT DE GRAND CHEMIN “.
ON ECRIT “S’EST FAIT VIOLER”.
la population et le policier ont tous raison
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