Wolofobougou : Il surprend sa femme sur son lit conjugal

    On ne cessera de le dire que le mariage est la seule guerre où l’on dort avec son ennemi. Le mariage, cet acte si précieux est  aujourd’hui devenu dans la capitale malienne  un sous couvert pour bon nombre de conjoints. Souvent, on se pose la question, s’il vaut la peine de se mettre les cordes aux coups. L’adultère est devenu aujourd’hui un phénomène qui gangrène  et tue à petit feu l’amour et la confiance dans nos foyers. A Wolofobougou, qui aurait cru, que Fatou pouvait tromper Salif avec un autre homme jusque sur leur lit conjugal ?

    13

    «Le mouton qui baisse sa tête, ne cherche pas de l’abris», dit-on un adage de chez nous. Salif, un gentil Monsieur aimable et tendre, s’est marié avec la belle Fatou  il y a de cela huit ans. Ce jeune couple a tout fait, mais il n’a pas eu d’enfant.

    De jours comme de nuits, Salif cherchait à tout prix à avoir un enfant. Il a tapé à toutes les portes. Les marabouts, les charlatans, ont tous vu défiler ce gentil homme, soucieux d’avoir un enfant. Il ne passait pas un jour sans qu’une mauvaise langue ne  vienne lui dire de prendre une seconde épouse si Fatou n’arrivait pas à avoir des enfants. Mais Salif est resté sourd à tous ces ragots. Car il voulait une vie simple avec sa dulcinée Fatou. Ce couple, visiblement vivait en parfaite harmonie.

    Salif, agent d’une banque de la place gagne bien sa vie, tout comme sa femme secrétaire dans un ministère dont nous taisons le nom. Le couple vivait à Wolofobougou en l’occasion dans un appartement. Ce mardi 10 novembre 2015, pendant que Fatou était en congé, le propriétaire de la maison appelle Salif afin qu’il se rende à la maison pour des besoins de réparation de la maison dont certaines parties étaient en mauvais état.

    Au début, il ne voulait pas venir, mais après il s’est dit qu’il serait mieux que lui-même vient assister aux travaux et que le tout soit fait une bonne fois pour toute. Il demanda la permission. Sans avertir sa femme, il  se rend à son domicile à l’improvise. Quand il arrive, il voit une voiture garée devant sa porte. Surpris, il se gare un peu plus loin et marche sur la pointe des pieds. Il rentre dans sa chambre à coucher et allume la lumière, il trouve sa femme en plein ébat avec son amant. Il rebroussa chemin pour aller chercher un bâton.

    A la porte, il  croisa l’ancien copain de Fatou bien avant leur mariage. Quand le monsieur a su qu’il a été reconnu,  il a cherché à s’en fuir, Salif lui  administra un coup de bâton  et crie  au voleur. Avant que les gens ne viennent, l’amant a  pris son véhicule pour disparaitre dans la nature.

    Dans sa course, il a failli renverser un petit garçon. Salif sous le choque est resté figé. Et, il a dit à sa femme ceci : «tu m’as déçu, je ne peux plus te faire confiance, je te croyais fidèle. Prend tes effets et va où tu veux, c’est fini entre nous». Comme pour dire qu’aimer c’est accepté la liberté de celle qu’on aime.

    Fousseyni SISSOKO

    Commentaires via Facebook :

    13 COMMENTAIRES

    1. Bonjour !
      Monsieur le journaliste est excusable car on ne sait pas dans quel état psychique psychologique, mental voire émotionnel il était quand il écrivait son article. Ce sont des choses qui peuvent arriver. Il sera plus attentif les prochaines fois (on l'espère).
      M. Ag Mosso, la ponctuation fait aussi partie de la grammaire et est très importante quand on corrige les erreurs des autres. "recrutez et laissez".
      Merci.

    2. Le niveau des élevés est top bas maintenant…Monsieur le Directeur de publication pourquoi laisser ces élèves écrire du n’importe quoi? Recrutez alors de vrais journalistes et laisser les élèves qui ne savent meme pas faire le distinguo entre LOCATION et L’OCCASION.

    3. Monsieur , si quelqu’un se mettait à étaler votre vie privée de la sorte , seriez vous content ? Vous avez du culot . Si vous aviez fait un titre sur nos moeurs et coutumes en vous inspirant de ce cas , n’est ce pas que cela est plus professionnel que des historettes ? Apprenez à RESPECTER LA VIE PRIVEE des GENS dans un journal . Si vous manquez d’inspirations journalistiques , convertissez vous en ECRIVAIN de ROMANS . Merci

    4. Sacré correcteur! Tu as bien vu: “sa” arrive à tout un chacun même au correcteur!! 😆

    5. Monsieur le journaliste, monsieur le menteur en scène ou internaute ne gatte pas le nom des autres éditeurs ou internautes. Ce que je veux savoir, quel niveau d’études as tu? de grâce n’écris plus des choses infondées et bourrées de fautes.

    6. L’article est cousu d’incorrections ceci enlève toute crédibilité à l’écrit.

    7. Sacré Salif!Pourquoi taper le monsieur avec un si gros bâton?Il faut demander d’abord à madame qu’est ce qui lui manque pour accepter de coucher avec un mec jusque dans le lit conjugal!Bon service du bailleur!Il a su montrer à Salif ce qui se passe à son absence sans qu’il soit traité de catalyseur.Il paraîtrait que la femme d’autrui est meilleure que la sienne même et que l’homme cocufié lui-même est toujours le dernier à être au courant de ce qui se passe.:lol: 😆 😆 😆

    8. le couple vivait en location ou en occasion et il fallait une occasion pour tout déballer Monsieur le journaliste relisez vos écrits par quelqu’un d’autre avant toute publication .

    9. Le couple vivait à Wolofobougou en l’occasion dans un appartement. Monsieur SISSOKO n’avez vous pas une redacteur en chef.

      • C’est une erreur de frappe monsieur , sa arrive à tout un chacun ; bonne comprehension 😳

        • Sacré correcteur! Tu as bien vu: “sa” arrive à tout un chacun même au correcteur… 😆 😆 😆 😆

    10. Changeons de comportement, c’est ce que Imam Mahamoud DICKO demande simplement!

    Comments are closed.