Au quartier Sirakoro de Kati, plus précisément sur le site des logements sociaux, des voleurs armés visitent fréquemment les maisons. Le rythme s’est accentué ces derniers temps car ils profitent de l’obscurité imposée par les délestages électriques. Samedi dernier, c’est notre confrère Akimi Maïga, directeur de publication de la Nouvelle République, qui a reçu la visite des malfrats qui l’ont dépouillé de plusieurs biens. C’est la deuxième fois que les voleurs visitent sa maison.
Suite à une de ses nombreuses et intempestives coupures d’électricité, Akimi Maïga et son épouse sont montés à leur terrasse vers 2 h du matin, pour y pendre de l’air. Entre 3 heures et 4 heures du matin, leur servante qui était aussi à la terrasse est descendue pour voir ce qui se passait, après avoir entendu du bruit. C’est en ce moment qu’elle est tombée sur un des bandits qui l’a braquée avec son pistolet pour la neutraliser.
Ensuite, selon les déclarations de la servante, les bandits l’ont sommé de leur remettre les clés pour ouvrir la porte du salon et ainsi accéder à d’autres pièces de la maison. Les voleurs ont emporté deux motos Jakarta, deux téléphones portables, un ordinateur portable, des habits de valeur de notre confrère en plus de son sac à main et les bijoux de son épouse.
Une plainte a été déposée au commissariat de police de 1er Arrondissement de Kati où une enquête est donc ouverte.
Cependant, il est bon de relever que les logements sociaux de Sikoro à Kati sont la cible particulière de voleurs armés qui ne cessent de les écumer par des descentes fréquentes. Rappelons d’ailleurs que c’est la deuxième fois que la maison de notre confrère Akimi est cambriolé.
Comme quoi, il y a urgence de enforcer la sécurité de cette zone afin de prévenir les vols à main armée devenus la psychose des habitants des logements sociaux de Sikoroni.
La Rédaction
Désolé Mr Maiga que Dieu te donne la foi d’accepter ce malheur. Moi j’y été victime une fois.
Sinon les cambriolages se font chaque nuit a Bamako par dizaines. Les journalistes en parlent dans la presse maintenant parce que l’un des leurs est touché. Yèrè koun gnini quand tu nous tient au Mali! Bè kô n’yèrèba kou malila, wa challahou ma chi tè na a yèrè soro a kelen na! Ni bèdiè dougou bè tchi, a bè tchi bè koun tchè de kan!
Yugubané tu as tout dis.Yakoo mon frère.
Si j’etais un cambrioleur, je n’irais pas perdre mon temps chez un pauvre journaliste Malien.
Deux Motos Djakarta, deux telephones portables, …. quel maigre butin !!
Chers cambrioleurs, la prochaine fois allez chez le Gros voleur de SEBENINKORO ! 😎😎😎😎😎
Vol€uropéens & ¢ambriol€uroccidentaux !
Comme toujours la France des Grottes & ¢rott€$ des LascaRacailles en Dust€Racailles toujours du camps de ces €miRatcailles et QataRacailles !
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