Vols de Moustiquaires Imprégnées au C S Réf de Missira : Le préjudice s’élève à 12 millions FCFA

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    La bande d’Alassane Touré, chef du Programme élargi de vaccination à Missira, bientôt à la retraite en décembre prochain, a été démantelée. Cela grâce à la vigilance du médecin chef du centre de santé de référence de Missira en commune II, le docteur Ada Coulibaly. Cet acte courageux a été salué à sa juste valeur par l’ensemble des travailleurs du centre.

    Depuis fort longtemps, ces bandits constituaient un véritable danger pour les travailleurs du centre. L’adage bien connu le dit, «tous les jours sont pour le voleur, mais il y a un jour pour le propriétaire ». Comme frappés par un mauvais sort, le Vieux Alassane Touré et son complice Aboubacar Sanou l’ont vérifié à leurs dépens le jeudi 14 février 2013.

    Les faits remontent du mois de novembre à décembre 2012, lorsque le médecin chef de la commune II a constaté le vol des moustiquaires dans le magasin de stock, après que les voleurs aient défoncé la porte.

    C’est ainsi que tous les soupçons se sont portés sur le vieux Alassane Touré. Très tôt le matin du vendredi 15 février 2013, après avoir constaté le vol de moustiquaires imprégnées d’une valeur de 12 millions de nos francs, le Dr Ada, médecin chef du centre, s’est rendu au camp I pour déposer une plainte contre Alassane Toure et son complice.

    Ce qui va amener des éléments du Camps I à mettre la main sur le   présumé voleur, Alassane Touré qui, après interrogation, a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Par la suite, il va d’énoncer son complice qui n’est autre que Aboubacar Sanou dit Papus, chauffeur de l’ambulance du  centre de santé.

    Dès l’annonce de l’arrestation d’Alassane Touré  et son complice Sanou, leurs parents se sont rendirent au Camp I, pour arranger l’affaire, mais en vain.

    Ce jour-là, ils avaient proposé de payer la moitié (6millions FCFA) après la libération des détenus. Les deux complices ont été déférés trois jours après, à la maison centrale d’arrêt de Bamako-coura, communément appelée « Lycée Central de Bamako ». Les deux voleurs de  grand chemin n’ont pas encore dénoncé leurs receleurs. Dans les jours à venir, ils seront présentés devant le juge. Leur dossier est entre les mains du procureur de la commune II.

    Le centre de santé de référence de Missira en commune II, situé à quelques mètres du marché de Medina-Coura, est peut être à deux pas des recéleurs.

    Affaire suivre…..

    Lassana

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    2 COMMENTAIRES

    1. C’est bien fait pour eux, il faut poursuivre les enquetes et dementeler tout le reseau, des biens qui sont destinés aux femmes enceintes demunies de moyen et aux nouveaux nés c’est vraiment la honte, perdre son travail à quelque mois de la retraite

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