Dans la nuit du mercredi 4 mai 2011 aux environs de 4 heures du matin, le nommé Kalifa Théra âgé de 30 ans et son complice ont escaladé le mur pour s’introduire dans le domicile de Doucoukolo Diabaté, sis à Sikoroni. Une fois à l’intérieur, ils ont été aperçus par le gardien de la maison du nom d’Adama Sidibé. Ce dernier a immédiatement alerté toute la cour, notamment Bafing Diarra et Cheick Coulibaly.
Après une longue poursuite, Kalifa a été appréhendé par ses poursuivants. Ils l’ont attaché avec une corde, s’en est suivie une grande la clameur publique. Son complice a malheureusement pu s’échapper en emportant avec lui le téléphone du gardien Adama Sidibé.
Le commissariat du 6e arrondissement a été alerté à son tour. Le commissaire Fousseyni Diakité, chef PJ du 6e arrondissement et l’inspecteur de police Bocar Berthé, étaient à la tête de l’équipe qui s’est rendue sur les lieux et qui a conduit le malfrat au poste de police.
Interrogé sommairement, Kalifa a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Notez bien que le dénommé Kalifa Théra est fiché dans archives de la police judiciaire pour plusieurs vols.
Fatoumata Traoré
Agression à main armée et vol à Banconi Djanguinébougou :
Abdoulaye Coulibaly et d’Aboubacar Koné dit ‘Kèmè’ arrêtés !
Le commissariat du 6ème arrondissement, sous la houlette du commissaire divisionnaire Mamadou Baka Sissoko et l’inspecteur Idrissa Nicolas Koné « le Blanc », vient d’arrêter deux malfrats. Il s’agit d’Abdoulaye Coulibaly et d’Aboubacar Koné dit ‘Kèmè’. Ces deux bandits sont connus de presque tous les commissariats de Bamako et même des tribunaux de la capitale.
Dans la nuit du 8 mai à partir de 23 heures, les deux malfrats ont agressé avec une arme à feu M. Mohamed Konaré, guérisseur traditionnel domicilié à Djanguinébougou. Ils l’ont dépossédé de son téléphone portable et la somme de trente cinq mille (35 000 FCFA). Au terme des investigations, le commissariat du 6ème arrondissement a mis la main sur les deux voleurs. Arrêtés, Abdoulaye Coulibaly et Aboubacar Koné ont reconnu les faits ; ils seront bientôt mis à la disposition du tribunal de première instance de la commune I.
Fatoumata Traoré