Ce mardi 4 septembre 2012, Mohamed Diallo, âgé de 28 ans a été arrêté au quartier de Massablacoura-Extension avec ses butins. Après 5 an d’abandon de son métier, la boucherie, ce dernier se converti en voleur. Pris dans une clameur publique, le voleur priait la foule en affirmant que c’est la faim qui l’a poussé à cette infraction.
Il était midi onze heure passé, lorsque la scène d’arrestation du voleur commençait à Massablacoura-Extension sur la route de Dogo.
En fait, après que tous les membres d’une famille située au bord de la route de Dogo aient quitté le matin pour aller à leurs activités, un jeune du nom de Mohamed Diallo, ouvrier de son état les a porté absent. Le nommé Mohamed Diallo fut un appris d’un boucher connu de tous à Bougouni avec son sobriquet « Boucher Maladi ». Après avoir abandonné son métier il y a cinq (5) ans, Mohamed s’est converti en voleur.
Dans cette maison, Seydou Mariko, tailleur et son jeune frère, Alassane Mariko, cultivateur, tous mariés en plus d’une femme répondant au nom d’Adiara Diakité ont été victimes de vol de condiments, d’une bouteille de pommade, d’un sac de ciment, d’un téléphone et d’autres petits objets.
Cet événement s’est produit lorsque tous le monde était parti au travail. Mohamed Diallo est venu défoncer les portes 3 portes avec des instruments en sa possession pour voler des biens. Au retour de la femme d’Alassane Mariko, Sanamba Mariko, elle a vu que leur porte a été défoncée en plus de deux autres dans la famille. Comme son trousseau de mariage a été volé dans ces même conditions en 2011, aussitôt, elle a fait le déplacement pour alerter les habitants des spontanés aux alentours sur la colline.
Comme un adage le dit : « toujours appartiennent au voleur, un seul au propriétaire ». Dieu faisant bien les choses, les femmes informées ont vu un jeune entrain de se hisser sous les feuilles d’arbres à côté de leurs habitations.
Celles-ci n’ont pas hésité à interroger le monsieur, qui est-il ? Et qu’est-ce qu’il cherche à cet endroit ? Il répondra qu’il est tradi-thérapeute et qu’il cherche des feuilles d’arbre pour faire des médicaments traditionnels.
Le sixième sens a guidé les femmes à pousser l’interrogation et le monsieur a commencé a paniqué. Dès lors, les bonnes dames ont crié au secours. Trois hommes venus à la recherche de nouvelles ont vu les femmes à la poursuite du voleur. Ces derniers ont arrêté Mohamed Diallo, et l’ont ligoté avant de saisir la police se précipita sur le lieu avec un véhicule du service. A cet effet, les policiers se sont rendus avec le voleur dans la famille où les portes ont été défoncées, en présence d’une foule composée des habitants du quartier et des chercheurs d’informations. Interrogé sur le mobile de son infraction, le nommé Mohamed Diallo, âgé de 28 ans, originaire de Kita, répondra qu’il avait faim et qu’il cherchait à manger.
On a constaté que Mohamed après avoir défoncé les portes et avait pris des biens puis s’est rendu dans la toilette afin de les fouiller. Après la fouille sacs dans la toilette, il a abandonné un sachet avec des coupons d’habit sur place.
Il est parti avec un gros sachet dans lequel, il avait emballé son butin.
Selon Adiara Diakité, les trente mille francs CFA dont elle avait cachés n’ont pas été vus. Le nommé Seydou Mariko a trouvé les habits de sa femmes et les siens éparpillés partout à l’intérieur de la chambre. Par contre dans la foulée, il a signalé l’absence d’un sac de ciment du propriétaire de la maison. Ces sacs de ciments étaient gardés dans une maison en chantier dans la cour. Mme Mariko, Sanamba Mariko dont le trousseau de mariage a été volé l’année passée affirme que c’est dans les mêmes conditions le nommé Mohamed vient de défoncer da porte pour voler ses petits objets et le téléphone de son mari, Alassane.
Après le constat, la police a amené le délinquant au commissariat de police de Bougouni. Une enquête a été ouverte afin de clarifier davantage situation.
Il faut tout simplement comprendre que ce vol est un cas parmi tant d’autres. Les habitants de ce faubourg sont fréquemment objets de vols dans la journée. Comme, certains le disent, les voleurs ont décrété de ne pas voler dans cette localité pendant la nuit sous peine de tomber dans un puits abandonné en cas de poursuite. Pour ce faire, ils attendent donc le départ des hommes au travail et celui des femmes au marché afin de mener leur opération.
Au regard de toutes ces manœuvres des voleurs, prudence est mère de sûreté.
Les populations de Massablacoura-Extension doivent beaucoup surveiller les bons à rien qui passent toute la journée à se faufilés entre les habitations de la localité.
Seydou KONE
Un article de pietre qualité truffé de fautes qui ne donne aucune envie d’avancer dans la lecture.
pas du tout beau cet article ,mal écrit,trop de fautes .pour les proverbes faites attention on dit toute traduction est une trahison ,donc ne cherchez point à faire une traduction mot à mot.salut
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