C’est une affaire de respect de distance règlementaire dans la construction de l’habitation de Bandiougou Sacko, expatrié vivant au Congo et l’opératrice Dado Kanouté, qui dégénéré samedi dernier. Et pour cause la seconde plaignante dont le domaine jouxte celui de Bandiougou Sacko, nous a confié avoir été violenté physiquement, verbalement, aurait reçu des menaces de mort, et diffamé à tort. Le comble, est que le conseiller en charge des questions domaniales à la mairie de la Commune VI du District de Bamako M. Baba Sanou, à en croire Mme Dado, « est non moins chef de chantier de Bandiougou Sacko, avocat défenseur, a fait l’objet de plainte de l’opératrice Dado « pour faux témoignage, diffamation».
Cette affaire qui oppose Mme Dado Kanouté, opératrice économique et Bandiougou Sacko, commerçant de son état vivant au Congo et qui a décidé de rentrer au bercail en 2006, concerne le non-respect e la distance règlementaire avec sa voisine citée plus haut. Selon Dado, son différend avec Sacko a commencé en 2012, lorsqu’il a débuté son chantier de trois étages. « Je suis ai dit de respecter la distance règlementaire de 4 m, il nen fait qu’à sa tête. J’ai contacté le maire de la commune VI du District de Bamako, ensuite, écrit eu Premier Ministre, au Ministre des Domaines, de la Justice, de l’Uranisme et de l’Habitat pour dénoncer cet état de fait que mon voisin construisait sans autorisation et me dérangeait énormément. J’ai donc décidé de porter plainte contre lui devant la justice. Après des mois d’attente, la Cour d’Appel de Bamako somma le 02 décembre 2015, Bandiougu Sacko à démolir son immeuble pour respecter la distance de 2 m entre nous. Malgré ce verdict dont mon avocat et moi attendions la grosse de justice jusqu’à ce jour, il s’entêtera à poursuivre ses travaux. Mieux, il achèvera la construction de l’immeuble e vient de commencer un second cette fois-ci en en laissant qu’1m20 entre nous. Ce qui est contraire au verdict de la Cour d‘Appel de Bamako. Il défie la justice et traite les fonctionnaires maliens de tous els noms d’oiseaux et jure que je en vais jamais gagner cette partie avec lui».
Bandiougou Sacko crie à la trahison
Approché par nos soins, Bandiougou Sacko crie à la trahison de Dado Kanouté car dit-il : « Depuis le début de mon chantier (allusion faite au premier immeuble qui abrite déjà des locataires), J’ai été voir ma voisine pour le dire que je suis son voisin et voulait débuter mon chantier. Elle a répondu que je pouvais construire mon mur aveugle sans aucun problème. Et lorsque le chantier a pris un envol sérieux, elle me convoque chez le maire de la commune VI du District de Bamako pour non respect de la distance règlementaire et empiètement du domaine privé. J’étais scandalisé. J’ai donc observé 60 cm entre nos deux cours. Ce que vous pouvez observer. Pour le second chantier, j’ai laissé 1,5cm entre nous et malgré cela, cette dame continue à me persécuter par des Injures publiques, menaces. Je comprends, elle veut montrer qu’elle a des appuis très puissants face à moi, qui a fait plus de trente ans en dehors du pays et renter au Mali en 2006 ». Poursuivant ses propos, Bandiougou dira qu’il a refusé de vendre sa parcelle à Mme Dado, ce qui lui vaut toutes ces misères.
« Faux », rétorque Mme Dado qui martèle ceci : « J’ai demandé à ce monsieur de respecter la distance qui nous sépare et qui est indiquée par la justice ».
Agression physique, injures publiques, diffamations
Samedi dernier aux environs de 13heures, nous avons été contactés par Mme Dado qui se plaint d’être dérangé et son domaine privé violé par un opérateur économique visiblement déterminé à poursuivre son chantier malgré les injonctions de la justice malienne.
Arrivée sur les lieux, la tension était palpable et la canicule battait son plein.
C’est une opératrice, le visage enflé, les yeux rouge qui sous recevra dans son domaine de Magnambougou Faso Kanou.
« Je viens d’être agressée physiquement, insultée publiquement par Bandiougou Sacko, mon voisin immédiat pour l’avoir demandé de respecter la distance de 2 m indiquée par le verdict de la Cour d’appel de Bamako du 02 décembre 2015.Fâché, il s’en prend à moi, me gifle, me brutalise, j’ai droit mon salut qu’à l’intervention de mon gardien».
Interrogé, Bandiougou a tout nié en bloc et crie au scandale.
Plainte contre baba Sanou
C’est fort de cet incident qui a été la goutte d‘eau qui a débordé le vase que Mme Dado Kanouté, s’est plaint chez le Procureur Général de la République qui la renvoyera chez le Procureur de la République de la Commune Vi du District de Bamako pour déposer sa plainte.
Le Substitut du PR Samaké a envoyé Mme Dado au Commissariat du Septième Arrondissement. « C’est là que je découvre le pot aux roses. C’est M. Baba Sanou, deuxième conseiller au maire de la Commune Vi du District de Bamako, qui se présente devant le Commissaire pour défendre Bandiougou Sacko qu’il traite d’homme sans histoire et que c’est moi qui est le problème. Il a affirmé devant l’Officier de Police Judiciaire qu’il c’est lui qui construit le chantier de Bandiougou Sacko, chef de chantier de surcroit. J’ai porté plainte contre Baba Sanou pour faux témoignage, diffamation. Quant à Bandiougou, j’ai porté plainte contre lui pour agression physique, verbale, injures publiques, diffamation, menace de mort ». Pour Mme Dado, elle ne comprend qu’un conseiller municipal encourage un citoyen à violer la loi en construisant sans autorisation préalable, témoigne pour lui sur un incident grave dont il n’a pas été témoin, relève d’une irresponsabilité gravissime», a indiqué la plaignante Dado.
Au moment où nous bouclons cette édition, les deux camps, étaient devant le Procureur de la Commune Vi du District de Bamako pour s’expliquer. Enfin, le procureur de la commune VI ayant voyagé et compte tenu de la tension vive entre les deux tendances, le dossier a été envoyé illico presto chez le ministre de la justice qui l’étudie. Pour enfoncer l’opératrice en question, celle-ci affirme que : « Baba Sanou a mobilisé les mécaniciens, des agents hôteliers pour témoigner contre moi. Une manière de tenter de noyer le poisson dans l’eau et de cacher sa sale besogne qui viole les lois de la République».
En tout cas, chaque jour que dieu fait, la tension monte entre Dado et Bandiougou et son mentor Baba Sanou, non moins cares du de la section VI RPM, dont le nom ne cesse d’être cité dans des conflits domaniaux en commune VI du District de Bamako.
Disons enfin, que nous n’avons pas pu joindre le conseiller incriminé dans ce scandale nauséanbond.
Wait and see !
Hamady
L’article est petri d’omissions et de fautes d’orthographe….desagreable a lire quand meme!
On ne sait pas a qui croire dans cette affaire de terre! Tout est melenge ici a Bamako….le gens aiment se coller faussement aux espaces qui ne leur appartiennent pas et insistent dessus pour qu’ enfin on leur cede ces espaces. Pourquoi tout cela? Cest ainsi qu’il ya des milliers de sparcelles construites a Bamako sur les espaces publiques (rue baree etc..) Dommage! On ne peut pas demander aux autres d’etre en regle tant qu’on ne verifie pas avec soi-meme voir si tout est correctement en regle! Tout le monde veut vole quelques metres de l’espace publique.
Je pense que le domaine ou la mairie doit vite intervenir sur ce cas pour coordoner avec la justice qui doit imposer la loi!
Si pouviez trouvé un lecteur avant de publier vos articles ?
Si non je vous jure que nous qui avons été à la vieille école avons beaucoup de peines pour:
– vous lire
– vous comprendre.
A bon entendeur salut.
Tu as dit la vérité avec bcp de fautes
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