Le mardi 24 mars 2020, les agents du Commissaire divisionnaire Abdoulaye Djiré ont mis hors d’état de nuire S. Magassa. Il a été arrêté pour viol et outrage public à la pudeur sur une malade mentale au quartier Zone Industrielle.
- Magassa, réparateur de parapluies, âgé de 35 ans, de nationalité malienne, a été surpris en ébats sexuels aux abords de la chaussée à la Zone Industrielle avec une dame ne jouissant pas apparemment de toutes ses facultés mentales. Son arrestation fait suite à la dénonciation de S. Bagayoko et des personnes de bonne foi.
Selon S. Bagayoko, l’individu n’était pas à son premier acte ignoble et immoral. « Comme si de rien n’était, le 23 mars 2020 vers 22 heures, en passant au même endroit, le nommé S. Magassa était en train de satisfaire sa libido avec la dame Mariam. J’ai essayé de parler avec lui. Il a bondi sur moi sans pour autant boucler la fermeture de son pantalon. Des personnes de bonne foi passant dans le parage ont observé la scène. Elles ont alerté le commissariat du 3e arrondissement. C’est ainsi que nous avons pu le maîtriser et le conduire au commissariat du 3ème arrondissement pour les besoins d’enquête », a déclaré S. Bagayoko.
Les faits
Magassa est réparateur de parapluies. À la descente du travail, il se rend dans un cabaret à Bakaribougou pour boire de la boisson alcoolisée traditionnelle. Après avoir eu sa dose, il se dirige vers l’Usine Mali-Lait pour causer sa copine Mariam affectueusement appelée Maman. Elle a élu domicile au bord de la chaussée à proximité de ladite usine. « Au cours de nos causeries, elle étale son pagne au sol, je me couche à côté d’elle et je profite pour assouvir mes besoins libidinaux », a-t-il déclaré.
« Dans la nuit du 23 au 24 mars 2020 vers 22 heures, pendant que j’étais en pleins ébats sexuels avec cette dernière au bord de la rue, j’ai été surpris d’entendre S. Bagayoko me dire de cesser avec cette pratique ignoble. J’ai répliqué que je n’arrête point. Alors, il a essayé de m’agresser. Je me suis levé pour me défendre et cela, sans avoir le temps pour fermer ma braguette afin de camoufler mon pénis. Alors, une altercation a éclaté entre nous et des jeunes gens qui se promenaient dans le parage m’ont interpellé pour me conduire au Commissariat de police du 3ème arrondissement », a-t-il laissé entendre.
Magassa, sachant que la femme ne jouit pas de sa faculté mentale, a abusé d’elle à plusieurs reprises sans se protéger. Et après l’acte, selon lui, il lui donne entre cent et deux-cents francs. « Quelques fois j’achète des omelettes et du pain pour elle», a-t-il conclu.
Magassa sera conduit devant le procureur de la République près le tribunal de grande instance de la commune II du District de Bamako aux fins de droit.
Fatim B. Tounkara
LA MALADE MENTALE A LE DROIT D AVOIR UN AMI. QUE LES GENS AIDENT MAGASSA A LA MARIER ET AVOIR UN DOMICILE FIXE. C EST LA SOCIETE MALIENNE ISLAMISEE QUI EST AMORALE ET DEBILE, SINON PARTOUT AU MONDE UNE PERSONNE MALADE MENTALE PEUT ETRE EN COUPLE OFFICIELLE OU NON!
Bonjour
FOURBAM€RICAIN
TROLLOCCID€NTAUX
MARCH€ sur la T€T€
TO¢ARATCAILLATLANTI$T€
Vous avez causé du tord à la bonne dame. Elle a besoin de satisfaire un besoin naturel comme toute personne majeure. Donc si par hasard ce monsieur vient lui offrir sans problème ce qu’elle a droit, pourquoi vous les empêcher? Mariam n’est pas du tout contente de votre intervention. Je suis allée en tant que chercheur d’infos, demander à la bonne dame, elle m’a fait savoir qu’elle était bel et bien consentante. Que le monsieur ne lui a pas forcée. Elle m’a dit que d’ailleurs qu’elle appréciait l’acte. Elle m’a dit qu’elle en veut aux gens-là puisqu’ils lui ont sevrée de son plaisir.
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