Accusé d’être impliqué dans une affaire terroriste, alors qu’il s’est rendu à la police pour, comme il le dit, porter plainte contre un marchand, le footballeur tunisien Nizar Issaoui s’est imbibé d’essence avant d’y mettre le feu devant un commissariat. Il se filmait au moment de passer à l’acte.
Le footballeur tunisien Nizar Issaoui a subi des brûlures au second degré après avoir décidé de mettre le feu à sa propre personne, indiquel’hebdomadaire Réalités. Selon des médias locaux, les faits se sont produits le 10 avril devant un poste de police de Haffouz, dans le
centre de la Tunisie.
Une vidéo de cet acte a été largement relayée sur les réseaux sociaux.
Warning ⚠️ graphic footage 🚫
Tunisian Ex-footballer Nizar Issaoui set himself on fire outside a police station in Haffouz, Kairouane when he found himself with terrorism charges after a dispute with a fruit seller.
He suffered severe burns but is stable#Tunisia pic.twitter.com/5V7LorL9St— Souhail Khmira (@SKhmira) April 10, 2023
On y voit l’homme qui se filme devant un poste de police. Avec beaucoup d’émotion, il explique avoir porté plainte contre un marchand de fruits qui vendait ses bananes à 10 dinars le kilo (environ 3,2 dollars), un prix très élevé.
Convoqué par la police concernant cette plainte, le sportif a indiqué avoir été accusé d’être impliqué dans une affaire terroriste.
En fin de récit, l’homme s’immole par le feu. D’après un journaliste local, Souhail Khmira, le sportif de 35 ans reste actuellement dans un état stable.
Source: https://fr.sputniknews.africa/
CES FOUS TUENT ET SE FONT TUER SI FACILEMENT, ILS N ONT PAS DE LOIS CAR POUR EUX LA LOI DE DIEU NE MARCHE QU À L AU DELÀ, PAS DE LOIS SUR TERRE POUR EUX , L HYPOCRISIE ET LA CALOMNIE SONT LES ACTES RELIGIEUX DANS LEURS SOCIÉTÉ, VOILÀ POURQUOI, L ACTE EST TOUJOURS IGNOBLE MAIS LA PAROLE FAIT S ENVOLER LA MONTAGNE ET ATTERRIR LA LUNE SUR TERRE.
SOCIÉTÉS SANS LOIS RÉELLES EN APPLICATION, DONC L ESPOIR N EST PERMI QU APRÈS LA MORT….
LA POLICE, LE GOUVERNEMENT, LA CORRUPTION GÉNÉRALISÉE, L INJUSTICE ET LA SOUMISSION À VIE.
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