Téléréalité Case Sanga III : Le comble de la perversion

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    Contrairement aux précédentes éditions, l’émission de télé réalité Case Sanga III, a vire dangereusement vers la perversion aux conséquences incalculables sur les enfants de notre pays. Organisée conjointement par Fanaday Entertainement et Africable, la première émission de télé réalité du Mali, reste à travers la gorge des parents soucieux de la bonne éducation de leurs enfants.

    Si les 2 précédentes éditions de Case Sanga ont tenu leur promesse, en revanche, la 3ème qui vient de prendre fin par le sacre d’une guinéenne, a suscité tout au long de son déroulement  des grincements de dents du côté de certains parents. Pour cause, les danses immorale et libertine de la mascotte.

    Chaque édition de cette star académie à la malienne apporte son lot de revelation entre les réalisateurs et certains acteurs. Pour beaucoup, le concept de détection et d’accompagnement de talents en herbe (chant et danse) n’est qu’un slogan creux pour permettre à Papa et Ender de se taper des millions sur le dos des autres acteurs. On se rappel encore des cas de Dabara lors de la 1ère édition et récemment celui de Amkoulel qui a préféré rompre le silence.

    Loin d’agrémenter l’émission, les prestations de la mascotte, du reste très mal inspirée met mal à l’aise les chefs de familles devant les enfants. Que de déhanchement sordide ! En plus, sa présence n’est même pas indispensable à l’émission selon une source interne à la réalisation.

     L’objectif de Case Sanga n’est donc pas de donner une opportunité aux jeunes talents, d’exprimer leur savoir-faire et de sortir de l’ombre, en leur offrant les moyens de s’imposer dans l’univers musical, mais tout simplement d’exploiter et de pervertir.

    Pour mettre fin à ces pratiques qui déshonorent et violent nos us et coutumes, il appartient aux parents de protester vigoureusement au près des autorités jusque là passives.

    A suivre…

    Lemzo Diallo

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