Il nous a été confié par des sources concordantes que M. Sissoko, non moins patron de la société de gardiennage KGS, fait recours à des méthodes peu orthodoxes. Il serait très violent et arrogant vis-à-vis de ses employés. Il frappe, insulte père et mère et demande à ces pauvres d’aller se plaindre où ils veulent. En somme, M. Sissoko fait partie des gens qui abusent de leur pouvoir.
L’homme dont il est question, se comporte bien en tout, sauf en bon patron. Souvent, il fait recourt à l’intimidation, à une action violente qui consiste à faire peur à l’autre en haussant le ton, en dépréciant son travail, en le menaçant de manière détournée ou voilée, en exerçant sur lui des pressions, pour parvenir à ses fins. Il prive à ses employés de toute possibilité de s’exprimer.
Dès fois, il fait recours à l’incivilité à caractère vexatoire, cela, est une action violente qui consiste à faire sentir à l’autre personne qu’elle ne vaut rien. Il s’agit d’attitudes faisant voir que l’on a peu de considération pour elle, qu’on on la critique et s’en méfie. Un préjugé défavorable influence l’opinion que l’on a de cette personne et nos commentaires à son sujet qui peuvent être blessants, notamment lorsqu’ils sont connus son entourage et qu’elle en ressent les contrecoups.
Pis, il nous a été confié qu’il frappe ses employés et les insulte pères et mère. Sans parler des licenciements abusifs auxquels il se donne. «Un soir, M. Sissoko m’a trouvé en train de somnoler sur un banc. Au lieu de me réveiller, il a renversé le banc et je me suis retrouver à terre. Avant même que je ne dise un mot, il m’a dit que je suis viré. Alors qu’il me devait 3 mois, qui n’a toujours pas payés» a bien voulu nous confier un de ses victimes, sous le couvert de l’anonymat.
S’il est reconnu qu’un dirigeant a une latitude très grande pour structurer son organisation, attribuer des tâches et évaluer le rendement, un gestionnaire compétent, agissant avec bon sens et dans le respect de l’équité, prendrait des décisions motivées pour le bon fonctionnement de l’organisation, en tenant compte des compétences et besoins des employés. Il agirait avec civilité et bonne foi, et respecterait les normes généralement reconnues. La personne en autorité qui ne gère pas en fonction de ces principes, peut manifester des comportements perçus comme étant arbitraires par ses subalternes. Tel n’est pas le cas chez le patron de KGS. Il est donc plus que jamais appelé à mettre beaucoup d’eau dans son vin, au risque de se retrouver devant le tribunal de travail.
L’abus de pouvoir est une forme de harcèlement qui consiste à s’attaquer directement aux conditions de travail de l’employé en lui retirant son autonomie. On se sert de son pouvoir pour contester systématiquement toutes ses décisions ; pour lui retirer ses moyens et ses outils de travail; pour lui attribuer des tâches humiliantes ou contre son gré, pour l’isoler, l’empêcher de se réaliser dans son travail ; pour lui attribuer des tâches incompatibles avec sa santé. On la pousse à la faute pour la prendre en défaut afin de la discréditer. À bon entendeur salut. KANTAO Drissa |
Comment vous pouvez encourager la médiocrité… un agent de sécurité qui somnole sur un banc…pffffffff, honte à toi.
Ce qu’on peut lui reprocher, ce sont les insultes, si c’est vrai. Mais pitié, car ce que l’autre à fait mérite un licenciement, car le dormeur la est entrain de gâter le nom de son entreprise.
Da.
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