Scandale sexuel : Une étudiante engrossée par son père

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    La nouvelle est on ne peut plus indigeste, voire indigne d’un homme civilisé dans notre société. Depuis quelques jours, une étudiante en 2e année secrétariat de direction dans un Centre de formation technique de la place, en état de grossesse de deux mois des œuvres de son père, cherche par tous les moyens à se débarrasser de son colis encombrant. Elle se confie à un officier de police du commissariat de police du 3e arrondissement devenu son psychologue de fortune.

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    La demoiselle T.A, car c’est d’elle qu’il s’agit, ne sait plus à quel sain se vouer. Tout est sombre dans son esprit. Agée de 16 ans, elle se prive de manger à sa faim du fait du scandale sexuel dans lequel elle se trouve avec son père. Très discrètement et sans oser élever le ton, elle explique les faits. Selon la jeune fille, elle vit avec sa marâtre à Kalaban-Coro, sa mère n’étant pas mariée à son père, porteur d’uniforme de son état. Depuis plus de 5 ans, dit-elle, elle fait l’objet de sévices sexuels de la part de son père pour lequel elle est devenue la petite esclave sexuelle par la force des choses.

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    D’attouchement en attouchement, celui-ci a fini par coucher avec elle sous la torture psychologique. Comment expliquer de tel scandale sexuel à une amie, à sa mère ou à un proche quelconque ? C’était dépressif pour T.A. Elle préfère se noyer dans un silence coupable, laissant le goût s’installer de plus en plus chez son père incestueux. Ce détraqué sexuel ne lâche pas sa proie à domicile. Il se forge une tradition qui consiste à se faire accompagner par sa fille dans un hôtel à Boulkassoumbougou en Commune I pour des séries de « natations diaboliques. »

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    Comme on pouvait déjà l’imaginer, T.A devient la copine attitrée de son père. En l’absence de son épouse, le délinquant sexuel ne se fatigue pas d’aller s’abreuver dans une maison de passe avec sa petite esclave. Il roule le drap du lit de madame avant d’effectuer un vol d’oiseau avec sa partenaire. Tout cela se passe sans que la coépouse, pardon la marâtre de T.A ne se doute de rien. (A moins qu’elle ne fasse semblant pour sauver son mariage).

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    T.A tombe en état de grossesse

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    Depuis deux mois et quelques jours, T.A porte la grossesse de son père. Mitraillée par les soucis, elle n’a ni copine pour se confier ni les moyens pour se faire avorter. Elle est partagée entre la colère et le déshonneur. T.A a tout de même informé le père de son futur bébé. Dans sa tentative de trouver une solution à son colis encombrant, elle se rend au commissariat de police du 3e arrondissement pour se confier à un inspecteur de police dont la réputation a franchi les océans. Elle lui explique les faits. Celui-ci n’étant pas compétent pour interpeller le père incestueux du fait de sa qualité, oriente la visiteuse sur le procureur de la République près le tribunal de la Commune II.

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    Le policier met la puce dans l’oreille de ce dernier, qui à son tour, accepte volontiers de la recevoir. Mais, le cœur de T.A commence à battre la chamade. Ce n’est pas de son goût, car, elle a peur que l’affaire ne s’ébruite au risque d’entamer la vie professionnelle de son amant de père. Elle reste quelques minutes dans l’arrière-cour du commissariat, sombrée dans la méditation. Peu après, T.A rentre à la maison, histoire d’aller réfléchir mûrement sur la proposition de son psychologue de fortune.

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    Dans la matinée du 20 novembre dernier, elle rencontre à nouveau son confident pour lui expliquer les dispositions prises par son père. Selon elle, celui-ci l’aurait emmenée chez un agent de santé pour lui administrer des injections en vue d’avorter sa grossesse. Comme quoi la ville des trois caïmans réserve des surprises. Pas n’importe lesquelles. Il suffit de l’éventrer pour bien voir.

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    O. BOUARE

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