Sa victime s’accroche a ses parties intimes : Le violeur présumé s’enfuit et abandonne son pantalon dans la chambre

    0

    Le 14 février dernier, les éléments de la gendarmerie de Dagana reçoivent une plainte de K.C. Cette mère de trois enfants, divorcée, accuse M. D, également divorcé, d’avoir tenté de la violer. D’après L’Observateur, repris par seneweb. Pour le confrère, les faits se seraient déroulés à Guidakhar.

     

    Selon le récit de K.C, M.D s’est présenté un jour dans sa chambre pour lui proposer d’entretenir avec lui des relations sexuelles moyennant 5000 F CFA. Lorsqu’elle a refusé, ce dernier aurait essayé de la violer.

    La plaignante assure avoir résisté. Une bagarre s’engage dans la chambre et se poursuit dans la cour. L’homme a tout mis en œuvre pour assouvir sa soif sexuel, mais est buté à une résistance farouche de la bonne dame. Les coups de poing et de morsures de dents de K.C n’enlèvent en rien l’appétit sexuel grandissant de son vis-à-vis. Soudain, la femme parvint à introduire sa main dans le pantalon de M.D. Aussitôt, l’homme poussa un sanglot qui ne laissa personne indifférente. Voila que K.C a dans sa main les parties intimes de son « bourreau ».

    Le sanglot du violeur a du coup alerté l’un des enfants de la victime présumée, qui a assisté à l’incident. Ce dernier fit appelle à une voisine, qui réussit à séparer les deux acteurs. Ayant parvenu a « se tirer d’affaire », malgré l’intense douleur, M.D a pris la poudre d’escampette en abandonnant sur place son portable, ses chaussures et… son pantalon.

    A la barre, le présume violeur a expliqué qu’il est parti en catastrophe sans son habit et ses autres affaires parce qu’il ne voulait pas qu’on le trouve nu.

    Si M. D a pu échapper à une condamnation pour viol ou tentative de viol, il sera reconnu coupable d’attentat à la pudeur et de coups et blessures volontaires. Il a écopé de deux ans de prison ferme et d’une amende de 100 000 F CFA.

    1. Cissé ayant déclaré avoir perdu au cours de la bagarre 78 000 F CFA.

    Le pantalon et les chaussures de M.D sont exposés à la place publique du quartier, histoire de dire plus jamais de viol ou tentative de viol.

    Violeurs, toute les femmes ne sont pas prenables, donc choisissez vos proies.

    Hamidou B. Touré

    Commentaires via Facebook :