Comme chaque fin d’année dans la capitale de Bamako, les Bamakois se sont lancés dans la festivité. Cette fête dénommée fête du poulet prend de plus en plus de l’ampleur. Cette année la particularité a été celle des enfants qui ont été enthousiasmés par cette fête de fin d’année. Les routes étaient inondées par les voitures et les motos. Ce qui rendait la circulation difficile à Bamako. « Ce qui a sensiblement diminué les accidents routiers », explique un agent. Le Monument de l’indépendance et celui du Tour de l’Afrique ont vu les artistes faire plaisir à ceux n’étaient pas partis fêter entre amis ou collègues et à ceux qui étaient restés à la maison devant leurs petits écrans. Dans les coins et recoins de Bamako, la grande satisfaction était le moment inoubliable, c’est-à-dire l’heure du changement d’année à une autre année. Dès zéro heure donc à minuit les Bamakois avaient transformé le ciel par tout genre de pétard. Dans les bars, c’étaient la fête totale avec les débits de boissons bien garnis. Mais la prudence était de mise. Pas de débordement avec des forces de sécurité plus discrète. Surtout celles qui étaient habillés en civils. D’un coté comme de l’autre, c’est toujours le mot plaqué qui était à la mode pour les jeunes amoureux. Comme chaque année, c’est ce phénomène qui animait les grains de Bamako, les hommes et les femmes étaient tous face à un situation qui est devenue un grand phénomène de discutions au Mali. Adieu 2011 et vivement 2012. Que Dieu bénisse le Mali et les Malien !.
Bréhima Traoré