Lancés par ATT avant le coup d’Etat, les travaux de construction de la route qui traverse Sébéninkoro sont pratiquement arrêtés. Ce qui ne fait pas le bonheur des usagers de cette route quand on sait que son accès devient insupportable pour les usagers qui circulent souvent n’importe comment. Avec la situation actuelle du pays, il est difficile de tirer une conclusion sur la fin des travaux.
Aujourd’hui, les souffrances des usagers (que ce soit les piétons ou les véhicules) qui empruntent cette voie sont connues de tous. La nuit, il est difficile de circuler convenablement sur cette route à cause de la poussière et de l’obscurité (manque d’électricité). Le lancement des travaux de la route avait donc provoqué une ouf de soulagement des populations, notamment les usagers de cette route. Mais l’arrêt desdits travaux a provoqué le calvaire des habitants et des usagers de cette route. Pourtant, avec la crise actuelle du pays, la fin des travaux n’est ni pour aujourd’hui, ni pour demain. Il est donc temps que les autorités prennent toutes les dispositions pour accélérer les travaux de finalisation de cette route, pour le plus grand bonheur de tous, surtout des usagers, quand on sait que ce tronçon est beaucoup fréquenté. Il est vrai que d’autres urgences existent, telle que la libération du Nord du pays, mais certaines choses, comme la finalisation des routes, ne doivent pas s’arrêter surtout en ce début de saison pluvieuse.
Rappelons en plus que la construction de cette route s’inscrit dans le cadre de la réhabilitation de certaines avenues du district de Bamako dans le but d’embellir et de moderniser notre capitale. Elle vise également à améliorer la sécurité et le cadre de vie des populations bamakoises. La réalisation de cette infrastructure rentre aussi dans le cadre d’un vaste programme appelé « Projet de construction d’un échangeur multiple au rond-point de la paix, d’aménagement de la section urbaine de la route nationale N°5 et de l’Avenue Kwamé N’Nkrumah ». Ce projet est exécuté en trois phases. La première concerne la construction de l’échangeur multiple et de ses bretelles. La deuxième concerne l’élargissement à 2 x 2 voies, du tronçon allant du Monument de la Colombe au pont « Woyowayanko », sur la route Bamako-Kourémalé sur une distance de 4,3 km et de l’Avenue « Kwamé N’ Nkrumah » sur 1,7 km. Enfin, la troisième phase consiste à élargir à 2×2 voies la route allant du pont « Woyowayanko » au Point Y à la sortie de Sébéninkoro, y compris la construction dudit pont. Le coût total du projet est estimé à 20,6 milliards de FCFA, hors taxes. Son financement est assuré à hauteur de 49% par le Budget national, et 34% par la BOAD, et le reste par la BIDC de la CEDEAO.
Salimata Fofana
N’importe quoi cet article…. les travaux avancent normalement. Felicitation à l’entreprise!
Soyez succinct au lieu de nous fatiguer avec vos blabla
Maintenant les usagers roulent sur le nouveau goudrons (en chantier)
Vous nous faites vraiment honte honte Mme, nous voulons etre courtois avce vous mais vous les jounaliste vous etes presque tous insuportable, la route avance parfaitement. je comprend maintenant pourquoi les hommes en cagoule vous bottent tous les jours, vous etes nuls.
C’est vraiment dommage d’avoir des journalistes sans réel formation….
Se former et s’informer pour mieux informer, voila l’abcd du journalisme. Il semble que notre journaliste est dans ignorance totale de ce principe élémentaire. En effet, je pense que le sujet aurait pu être mieux couvert, aussi bien dans la forme que dans le fond. Mais, doit-on pour autant lui en vouloir tant ? Moi je suggérerai de faire preuve de plus de créativité et de perspicacité pour votre prochain article. Aussi, je vous propose, pour vous racheter pour cet article pas très apprécié en fin de compte, de re traiter ce même sujet “route de sébénicore…” dans 2 ou 3 mois.
Cela pourrait faire du bien à vos fans et faire monter un peu votre cote.
Bon courage et a+
Vérifier la source de votre information. Le financement de la route de sébénikoro est plus tôt assuré par la Banque africaine de Dévéloppement à travers le Fonds africain de développemnt (FAD)
Je demens l’information de ce journaliste en tant qu’usager permanent de cette voie. Les travaux avancent reellement à un rythme bien soutenu.On peut même estimer le taux d’avancement à 45%.Pourvue que ce rythme ne baiise plus.
Bien dit Manssarén!
Cette journaliste ne se donne même pas la peine de vérifier l’information qu’elle nous apporte. Sébénikoro est à côté de toi, madame la journaliste.
vous êtes très désagréable à lire. un sujet aussi important mais un article très mal cousu dans du très mauvais français. Instruction avant tout
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