Ces derniers temps, la capitale de Bamako grouille de fous. Ils sont un peu partout et à tout moment. Toute chose qui fait souvent que les paisibles citoyens ont même du mal à circuler à leur aise au risque d’en agresser. Car souvent dans la circulation, ils font des gestes qui peuvent faire peur.
On se demande tantôt s’ils sont tous des fous. Il est fréquent de voir certains d’entre eux en train de fumer ou de s’adonner aux boissons alcoolisées. D’où il convient de se demander si ce n’est pas la consommation des stupéfiants qui multiplie le nombre de fous. On compte actuellement assez de jeunes parmi eux. Quand on sait que la jeunesse est l’avenir du pays, il y a de quoi s’inquiéter.
Ainsi, les parents et les autorités sont appelés à sensibiliser les jeunes et à revoir l’éducation des enfants afin d’amoindrir les méfaits des stupéfiants sur la jeunesse malienne qui commence à en souffrir.
Aminata Sanogo
Le constat est réel. Seulement, cet article manque de profondes analyses car il faut noter la recrudescence du phénomène en si peu de temps. c’est pourquoi, il faut interpeller les autorités autour de ce problème afin de savoir si ce sont des malades mentaux ou des fous déguisés en ces temps de crise. Les capacités de déguisement de l’adversaire sont nombreuses et peuvent tromper la vigilance des paisibles populations. Alors nous devons tous surveiller cette nouvelle population et signaler d’éventuelles …
Journaliste,qui t’a dit q’au Mali c’est la jeunesse qui est l’espoir de la nation?C’est vous les escrocs comme ça qui ferment les yeux sur la réalité!!!Les jeunes ne l’ont jamais été au Mali!!!Mais des cheveux blancs de 20 ans OUI !!! Que des conneries!bandes d’escrocs! Vous avez tous plongés le Mali dans le calvaire.
Mon cher Keïta, je crois que c’est le style de l’auteur (peut être une journaliste stagiaire) qui pose un peu problème. Donc qu’elle cherche à s’améliorer et elle trouvera un bon style journalistique avec la pratique ; j’en suis sûr.
Article incompréhensible. Merci à l’auteur de faire relire ses écrits avant publication.
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