C’est la dernière affaire examinée par la Cour d’assises lors de sa 4ème session qui a pris fin Vendredi dernier. Enock Sanou était inculpé de viol et homicide involontaire commis sur la demoiselle Didia koné en Septembre 2012.
Né vers 1990 à Téguéna cercle de Tominian, de Karaba et Samouta Keita cultivateur de son Etat, ENOCK Sanou puisque c’est de lui qu’il s’agit, en voulant assouvir son instinct sexuel a asphyxié sa victime Didia Koné le 30 Septembre 2012à Sialo (commune rurale de Tomian) qui abritait une cérémonie de mariage.
L’endroit s’était transformé en un point de convergence de ressortissants venus de tous les horizons afin de participer à cette célébration. Enock et Didia y était de la fête. En marge de cet évènement, Enock après avoir cassé plusieurs bouteilles d’alcool n’a pensé qu’à satisfaire sa libido. Et pour ce faire, il décide de passer à l’acte qu’importent les conséquences. C’est ainsi qu’il parvient à entrainer DIDIA Koné dans un champ de mil derrière le village. Sans douter de rien, Didia s’est vu violement jetée à terre et Enock bondit sur elle comme en chien enragé. Il s’est mis à violer la pauvre demoiselle malgré sa farouche opposition. Pour éviter des cris de sa partenaire susceptible d’éveiller tout soupçon, Enock Sanou de la main se saisit de la gorge de Didia et ne lâchera prise qu’après son soulagement et cela durant de bonnes minutes. Après le constat que sa victime n’était plus en vie, il s’éclipsa dans la nature avant de se rendre à Bamako, abandonnant le corps sans vie de Didia dans les buissons.
Deux jours plu tard soit le Mardi 02 Octobre 2012, la vieille Marie Koné, dans son champ, trébucha sur un cadavre. C’était celui de Didia Koné. Des enquêtes ont été ouvertes et Enock a été cueillt à froid à Bamako et conduit à la Brigade de Gendarmerie de Tominian où il reconnu les faits. Il exprime avoir commis l’acte mais étant sous l’effet de l’alcool.
La Cour a ainsi déclaré suffisamment établi contre Enock les faits qui lui sont reprochés et requalifié les faits de « Viol et Homicide involontaire » au lieu de viol et meurtre (faits prévus et punis par les articles 203 et 226 du code pénal. Elle a, dans sa décision, écarté l’hypothèse de circonstances atténuantes et à condamné Enock Sanou à 20 ans de réclusion.
Une peine en tout cas qui servira de leçon à ceux qui ne pensent « qu’un pénis en érection est aveugle!»
Toumani
Apres les 20 n’oubliez pas de le castrer avant de le liberer. 😈 😈 😈 😈 😈
qu’il pourrisse en enfer!
quel salopard !
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