Poste de Péage de Farabana et de Mamaribougou dans la Commune du Mandé,Route de Kangaba et de Guinnée-Konakry : Des Gendarmes peu Scrupuleux

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    Seydou Diawara dit martin, président du PLA :
    Photo à titre illustratif

    Au Mali certaines pratiques ont la vie dure. En effet on ne veut plus vivre à la sueur de son Salaire, tel semble être le cas des Gendarmes des deux Poste de Péages de Mamaribougou Route de Guinnée-Konakry et de Farabana Route de Kangaba.

    Au lieu de s’occuper à protéger les agents de péages contre les malfrats, et les véhicules qui refuse de payé le frais de passage, ils ignorent cela, et préfèrent extorquer les pauvres Motocyclistes qui empruntent cette voie, comme la plus part Vien de brousse. Ils réclament les vignettes de Motos et verbalisent. Que la vignette n’est pas du District de Bamako. L’intéresser est appeler a payé à partir de 1000 FCFA ,2000 FCFA, 3000 FCFA ,5000 FCFA, certaines sont taxé jusqu’à 10000 FCFA. Sans donné de reçu, ni aucun autre papier de justificatif qui prouves que l’argent sera verser au trésor publique. Ceux qui n’en possèdent pas. Le citoyen lambda se pose la question s’ils font cela de leur plein gré ou s’ils agissent avec la complicité de la hiérarchie et ou va cette sommes. Le Directeur Général de la Gendarmerie le Colonel Major Satigui Moro SIDIBE  est fortement interpellé.

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    1. C’est vraiment le quotidien de ces gendarmes surtout au péage de Samanko 2 sur la route de Bamako – Guinée Conakry. Les motocyclistes ont toujours la peur au ventre en arrivant à ce péage. Mais rien à faire.

      • C’est vrais et je dirai que la hiérarchie est au courant de cette pratique. Les gendarmes ne sont pas seuls à faire la raquette. Les policiers sont pires. Aux rond points de l’hôpital Gabriel TOURE, du grand Hôtel, de l’Education, le chaos est semé par les policiers pour récolter les conséquences aux vus et aux sus de tout le monde. Je m’explique. Aux heures des grandes affluences, il n’est pas rare de voir 3 à 4 policiers par rond point, sifflets à la bouche prêts à rançonner la plus petite erreur des usagés. Ils ont des jargons à faire noyer le poisson dans l’eau “conduite dangereuse, double file, feu grillé…”. Or c’est le moment que ces policiers doivent intervenir pour gérer la circulation avec leurs gants blancs et leur sifflet, pour équilibrer le passage des usages afin que qu’un stressé ne commette pas une faute. Généralement c’est le contraire qui se produit surtout au rond point de Gabriel TOURE ou les 2 feux se faisant face se mettent au vert ensemble. Ceux qui viennent du Grand hôtel ont la priorité sur ceux qui vont vers le grand marché, l’ancien combattant. Vu l’affluence, la police ne leur facilite pas le passage. Donc les usagés venant de Médina-Coura pour l’ancien combattant sont obligés de forcer le passage parce que ceux venant du Gabriel TOURE ne leur laissent le choix. C’est ce que les policiers attendent pour se faire la poche avec des arguments pouvant réveiller Tiècoro BAGAYOKO l’ancien Directeur Général de la Police sous GMT.

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