Cette scène qui a l’air d’un film western a étonné plus d’un dans cette soirée du dimanche au lundi dans les environs de 1 heure du matin. Selon nos sources, l’homme, plus de la quarantaine est le propriétaire d’un bar situé dans l’ACI 2000 à Lafiabougou.
Mais pour des raisons inexplorées, ses affaires n’ont plus de succès. Les chambres de passe ne rapportaient plus. C’est au cours de ses échanges avec un client que ce dernier lui recommande de voir un marabout célèbre. Après consultation, le marabout lui a recommandé de « s’accoupler » avec une folle. Dans le souci de ne pas perdre son activité, il se plie au conseil de son marabout. Il choisi la nuit du dimanche au lundi pour passer à l’acte. Selon un interlocuteur, il avoue que l’homme faisait le tour depuis 23 heures. Malheureusement pour lui, il n’a pas atteint le but visé. Dès pénétration, la folle se mit à crier de toutes ses forces alertant ainsi d’ « intrus » passants. Notre homme ne tarda pas à prendre la jambe au cou.
Le gardien vend des «préservatifs utilisés» à 500 F
Le gardien d’un bar qui à en charge le nettoyage des chambres de passe après le passage des amoureux occasionnels livraient les préservatifs utilisés à un marabout de la place. Ce dernier les revendait à un autre qui les transporte dans les mines pour les revendre à des orpailleurs. Selon nos informations, le sperme de l’homme apporte la prospérité pour ses orpailleurs. Une autre source nous informe que ça rapporte la richesse et c’est avec le produit que les marabouts renforcent la richesse des clients. Ainsi, après plusieurs passages pour prendre les préservatifs contenant le liquide, il explique à son fournisseur qu’il n’a pas assez d’argent pour le règlement. Ce dernier s’accomodait à chaque fois. Le prix était fixé à 15.000F. C’était le week-end et les clients faisaient le tour. Trois jours après il revient sans argent pour chercher encore la marchandise. Le livreur en avait ce jour ras-le-bol. Altercations. Mais curieusement le gardien fut remercié par son employeur qui ne se doutait de rien. Amateurs des chambres de passe ! Vous êtes avertis.
Tournant du Grand Hôtel
Une ambulance s’affole et fait des dégâts
Un accident s’est produit dans la matinée du lundi 12 septembre 2012 entre une ambulance des sapeurs pompiers qui venait de déposer un accidenté et un véhicule personnel non loin du Grand Hôtel.
L’incident s’est produit aux environs de 12h. Selon les témoignages recueillis sur les lieux, le véhicule des sapeurs pompiers aurait quitté l’hôpital Gabriel Touré après avoir acheminé un accidenté. Mais arrivé un peu avant l’hôtel, le conducteur tournait pour dépasser l’autre véhicule quand subitement survint un grand bruit. Le véhicule personnel a été un peu cabossé. Un jeune homme qui remorquait une jeune fille roulant à vive allure a perdu le contrôle de l’autre côté de la voie éfrayé par le fracas. La jeune fille est grièvement blessée. Le jeune garçon qui conduisait la moto aurait reçu quelques égratignures, selon les mêmes sources.
Filles mères à Bamako :
Victimes de phénomènes sociaux
Notre Mali est un pays en voie de développement. Mais paradoxalement, malgré que notre buffet est mopins garni, nous avopns le lit le plus fécond. Ce n’est pas pour rien que de plus en plus, croise dans presque tous les coins de rue de très jeunes devenues des filles-mères. Ces malheureuses vielles filles semblent ignorer tout de la contraception ou des précautions élémentaires contre le VIH Sida. Malgré leur détresse, elles ne semblent jamais ouvrir les yeux et tombent à chaque fois dans les mêmes pièges. Trainant souvent deux à trois mômes, elles en porte au ventre. Peut on parler de grossesse non désirées ? Pour la plupart des cas il s’agit de « récidivistes » téméraires. Leurs partenaitres choisissent de ne jamais paraître en public. Ils ne sont généralement là que pour enceinter et disparaitre jusqu’à la prochaine saison. Ils n’ont aucun soucis de leur progéniture où leur « pondeuse ». Il est vrai que bien d’adolescentes et de jeunes tombent aujourd’hui enceinte de façon involontaire et elles se retrouvent dans la rue. Livrées à elles-mêmes, la solution ne se fait pas attendre à cause du rejet de la famille. Pour d’autres, la misère a simplement poussé les parents à envoyer leurs enfants gagner de l’argent ou à les confier simplement à quelques connaissances aux intentions pas louables. Dans la rue, où elles vivent dans la clandestinité, les jeunes filles sont exposées à toutes sortes de violence. On peut citer l’exploitation sexuelle, les viols à répétition, les rackets, les séquestrations par leurs proxénètes et sans oublier les rafles de nos amis peu recommandables de la police.
Une criminalité bien organisée
Le phénomène a pris desormais l’ascenseur et grimpe aveuglemnt vers un tunnel sans bout. L’hypocrisie à pris le devant à travers des discours et des rapports de tout genre. Dans les systèmes corrompus, le législateur s’emploie souvent à échafauder des politiques et des règlements qui n’ont pas pour finalité d’améliorer l’environnement économique ou politique global. Ils tendent plutôt à faire le jeu d’un petit nombre d’individus qui se tiennent dans les coulisses du pouvoir ou de ceux qui soudoient les agents publics pour qu’ils adoptent un règlement favorable. Les ressources qui seraient normalement consacrées à la production de biens et de services servent souvent à corrompre. Ceci comprend les ressources tant directes, sous la forme de transferts de fonds, qu’indirectes, par exemple le fait de rester en contact avec des agents publics ou d’octroyer une licence d’exploitation ou de production à une entreprise moins efficiente. En outre, la corruption détourne des ressources qui pourraient être affectées à la fourniture de services publics. Au lieu de contribuer au budget, les fonds provenant des licences ou de l’impôt sur le revenu peuvent finir dans la poche d’agents publics corrompus.