Un accident mortel a eu lieu ce dimanche en plein centre ville de Kaolack sur la route nationale numéro 1. Un camion malien a percuté une moto Jakarta avant de finir sur sa course sur un taxi.
Trainé sur plusieurs mètres à savoir de l’hôtel Arc-en- Ciel au devanture du Cœur de Ville, le véhicule de transport urbain s’est retrouvé sous le camion malien complètement endommagé.
Quatre corps inertes ont été évacués vers le centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack par les sapeurs-pompiers.
Seneweb a constaté une vive tension sur place, une foule de jeunes a déjà saccagé plus de 5 camions maliens stationnés dans les parages.
Les réponses des internautes sénégalais comme moi sont systématiquement effacés par les administrateurs du site. Ce n’est pas une surprise, la démocratie et le débat contradictoire, on connait pas
Paix à l’âme des victimes.
La réaction de la population est sans doute disproportionnée, surtout quand on sait que les chauffeurs sénégalais sont aussi souvent auteurs d’accidents de la circulation au Mali. Tous les camions maliens ne doivent pas être punis à cause d’un chauffard. C’est clair qu’être chauffeur routier, c’est porter une sacrée responsabilité. Et il faut reconnaitre que la raison principale d’un accident aussi grave en plein cœur d’une ville relève d’une chose indéniable : l’excès de vitesse.
Mais un accident reste un accident et ne peut aucunement justifier une vindicte populaire discriminatoire et sans discernement.
—
Pensées rebelles.
JE DIS AU SENEGALAIS DE SE LEVER CONTRE DES CHOSES COMME CELA- C EST UN ACCIDENT QUI NE DOIT PAS APPELER CE GENRE DE REACTION CHEZ NOUS- LE MALI EST UN PAYS FRERES
LEVONS NOUS CONTRE CES GENS QUI JOUENT AVEC NOS PETITES SOEURS
TRIBUNE
Sur la plage, à Saly, la traite des mineures africaines
Le Sénégal, et plus particulièrement cette station balnéaire située sur la «Petite Côte», à 60 kilomètres au sud de Dakar, joue un rôle spécifique dans la structuration des réseaux de traite qui alimentent le marché européen de la prostitution.
par Nelly Robin , chargée de recherches, Ceped (IRD, Paris-Descartes), Migrinter (CNRS, université de Poitiers)
publié le 2 octobre 2019 à 17h51
Tribune. La traite des êtres humains est en augmentation, selon le dernier rapport de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (1). En 2016, 70 % des personnes qui en étaient victimes étaient des femmes ou des jeunes filles. En Afrique subsaharienne, le travail forcé des enfants reste la forme d’exploitation la plus fréquente. Mais 31 % des victimes de traite dans cette région le sont à des fins d’exploitation sexuelle, en tant qu’esclaves en situation de conflit armé ou prostituées dans les centres urbains et les zones touristiques (2).
Le Sénégal, et plus particulièrement la station balnéaire de Saly, située sur la «Petite Côte», à 60 kilomètres au sud de Dakar, joue un rôle spécifique dans la structuration des réseaux de traite qui alimentent le marché européen de la prostitution. Les jeunes filles exploitées à Saly sont souvent mineures, mais toutes ont tendance à majorer leur âge, conformément aux instructions données par les trafiquants qui les séquestrent et les obligent à se prostituer (3).
ILS TAPENT SUR LEUR FRERES NOIRS QUI A FAIT UN ACCIDENT UNIQUEMENT PENDANT QUE LES FRANCAIS JOUENT AVEC LEUR FILLETTES A SALY
ET LA ILS DISENT RIEN
BANDES DE COMPLEXES
les CAMIONS SENEGALAIS FONT TROP DE MORTS AU MALI ET IL N Y A PAS DE CASSE !!!!!!!!!!
SI C ETAIT UN CAMION FRANCAIS ILS FERMERAIENT LEUR GRANDE GUEULE !!!!!!!!!!!!
∁0𝕌𝒫 𝓓’€∁ℒ𝔄Ŧℒ𝔄NT𝕀$Ŧ€
∁0𝕌𝒫 _𝓓€_𝒫𝕌Ŧ𝔄ℳ€ℜ𝕀∁𝔄𝕀ℕ€
∁0𝕌𝒫 _𝓓€_𝒫𝕌Ŧ𝔄𝕀W𝔄ℕℕ𝔄𝕀$€
€$𝔹ℜ0𝕌ℱℱ𝔄ℳ€ℜ𝕀∁𝔄𝕀ℕ€
𝒫ℜ€$ de 3 $𝕀€ℂℒ€$ 𝓓’€$𝔹ℜ0𝕌ℱℱ𝔄Ŧℒ𝔄ℕŦI$ℳ€
ℒ’€$𝔹ℜ0𝕌ℱℱℜ𝔄ℕÇ𝔄𝕀$€
𝓓€$0ℜ𝓓ℜ€𝕌ℜ0𝒫É€ℕ
ℍ𝕌ℳℳ€𝕌ℜ0𝒫É€ℕℕ€
ℳ𝔄𝕌⋁𝔄𝕀$€_ℍ𝕌ℳ0𝕌ℜ𝔄Ŧ∁𝔄𝕀ℒℒ€_0∁∁𝕀𝓓€ℕŦ𝔄ℒ€_𝔹𝔄ℕ∁𝔄ℒ€
Nos deux pays, le Sénégal et le Mali, gagneraient à éduquer davantage leurs conducteurs. Il y a trop d’accidents qui se soldent par des pertes en vies humaines. Ces accidents tuent plus que le COVID-19.
Les camions maliens font beaucoup de mort au Sénégal. Quelle indiscipline. Stop, stop
CHAUFFARDS-ISLAMINCONSCIENTS-MALIENS A DAKAR
Comments are closed.