Notre collaborateur Mohamed Diakité après une nuit de dur labeur à l’imprimerie de la SOMAPRESSE (société éditrice de L’Indépendant et Bamako hebdo) a été victime d’une agression perpétrée par trois malfrats. C’était dans la nuit du mercredi 19 novembre aux environs de 5 heures du matin lorsqu’il a quitté les locaux de l’imprimerie pour rentrer chez lui à Djicoroni Para.
Dans un détour de ce quartier populeux, les trois malfrats l’ont intercepté l’obligeant à s’arrêter sous la menace d’une arme. Ils l’ont contraint a leur céder sa moto Jakarta. Mohamed Diakité ne manifesta aucune résistance. Mais l’un des malfrats l’assomma en lui donnant un coup de machette sur la tête pour l’empêcher d’alerter le voisinage.
Le coup ricocha sur son casque de protection. Non content, le malfrat lui donna un autre coup de machette dans le dos. Avant de disparaitre avec la moto laissant notre collègue baignant dans son sang. Il dut s’armer de force pour alerter le voisinage qui l’a finalement admis au centre de santé le plus proche. Ses jours ne sont pas en danger. Les enquêtes sont en cours au niveau du cinquième arrondissement en vue de mettre la main sur ces malfrats.
Le groupe SOMAPRESSE souhaite un prompt rétablissement à Mohamed Diakité.
Cléophas TYENOU
Tout cela prouve à suffisance ce qu'est devenu le Mali d'aujourd'hui, pas un seul jour qu'une aggression ne se produise, tous les jours les differentes presses nous relatent ces sinistres constant mais le gouvernement reste muet et indifferent comme si le Mali est devenu un no man's land. Prompt retablissement à ce courageux travailleur qui a decide de gagner sa vie à la Sueur de son front au lieu de poser des guet à pens.
On souhaite pronpt retablissement pour lui, sachant que il faut éviter de rentrer tard la nuit quel qu’en soit le boulot ou de passer la nuit au service en même temps.
Je constate qu’il n’y a pas de d’operation de pratrouille à travers la ville ce qui laisse champ libre au malfrats.
Les forces de sécurités doivent sortir de leur canton de caserne pour aller sur terrain, et cela durant toute la nuit et moins d’une heure d’interseption d’argent aux première heures de la nuit pour ensuite disparaitre laissant le champ libre au Bandits malfrat.
Dieu soit loué
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