Les faits, suffisamment graves, ont nécessité plusieurs réactions, dont un communiqué de la direction de l’Information et des Relations publiques des armées, une déclaration des autorités policières régionales de Kayes ; des syndicats de police à Bamako.
Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, cet après-midi du samedi 12 juin, montre le passage à tabac d’un policier par des jeunes éléments de la garde nationale en partance pour le front. Un incident qui a eu lieu à Sévaré (Mopti) à plus 630 km de Bamako. Il s’agissait pourtant d’un acte de représailles suite à un autre incident impliquant un élément de la garde nationale à Bamako.
Dans un message audio, attribué à l’élément de la garde à l’origine de la poussée d’adrénaline entre militaires et policiers, ce dernier explique avoir été victime de maltraitance par les policiers en patrouille dans la nuit du 11 au 12 juin àSotuba (Bamako). « J’étais venu chercher ma nourriture chez ma cousine. Alors que je discutais avec la fille de cette dernière au portail, les policiers en patrouille m’ont grossièrement insulté. Je leur ai dit que ce n’est pas une manière de parler aux gens. J’ai été embarqué manu-militari et frappé jusqu’au commissariat », a expliqué le garde, dans sa version des faits.
Des « incidents isolés » ?
Selon le Col Souleymane Dembélé, directeur de l’information de l’armée malienne, il s’agit d’«incidents isolés rapidement circonscrits ». Sur la vidéo publiée sur les réseaux sociaux, des éléments de la garde nationale s’en prennent violemment à un jeune policier en service au rond-point de Sévaré. Outre les coups, le policier est grossièrement insulté par les militaires. Tout indique que la scène a été filmée et diffusée par les agresseurs eux-mêmes. Dans la vidéo, ils demandent au jeune policier, qui n’avait pas eu le temps de fuir comme ses collègues, de passer le message aux policiers du Mali.
Une scène similaire de passage à tabac se déroulait presqu’au même moment à Kayes, où des images de policiers réglementant la circulation ont été diffusées portant des gilets para-balles. Une précaution qui en dit long sur le climat de tension qui règne entre les deux forces de défense d’une part, et de sécurité d’autre part. Si à Kayes, les autorités régionales de la police ont appelé au calme, à Bamako les autorités policières n’ont pas encore réagi. Pas officiellement en tout cas. `
Cependant, au Groupement mobile de sécurité à N’Tomikorobougou, des syndicats de policiers, poitrines bombées, ont qualifié d’actes « ignobles et indignes » la violence contre les policiers. Ils ont promis de « laver l’affront » subi par leurs collègues dans l’exercice de leurs fonctions. « Nous allons observer la réaction des autorités, si elles ne sanctionnent pas nous allons agir », a menacé l’adjudant José Kamaté, porte-parole des policiers.
Mamadou TOGOLA/maliweb.net
C’est encore la France qui est la cause de conflit entre corps habillé, nous les maliens nous aimons trop le Mensonge et la démagogie, un pays où c’est la cours CONSTITIONNELLE qui validé la prise du pouvoir par les armes dans ce pays tout désordre est normal , la cours CONSTITIONNELLE dira encore que ce bagard entre corps habillé est normal
C’est n’est pas surprenant un pays où le coup d’état est validé par la cours CONSTITIONNELLE, des lors tout désordre est normal dans un tel pays ….un pays où le coup d’état est banalisé et se fait sur la base des mensonges et en espace de 9 mois deux coup d’état au compteur , dans ce même pays champion en coup d’état bidon on veut que les autres pays gaspillent leurs argent pour notre sécurité entre temps nous on se bat pour des postes juteux à Bamako. En plus on insulte ceux qui applaudissent pas notre désordre érigé en citoyen patriote quelle honte pour notre pays
C est la faute de la France
« laver l’affront »
C’est la bonne maniere?
Une guerre dans une guerre?
Que les militaires se consacrent a la defense de la patrie.
Un conflit avec la police n’honore pas le pays.
Les policiers doivent se calmer.Ils ne peuvent pas tenir 5 minutes devant les militaires.
Que chacun se concentre sur l’enemi commun.Le terrorisme.
Que les chefs réagissent fermement , l’ heure n’est pas à la gué guerre !
” L’animal efflanqué est agonisant, cependant il ne devrait pas échapper à la consommation, or il se trouve que le couteau pour l’égorger n’est pas acéré et la pluie est imminente. Hélas que faire ? ”
Resolvons ensemble cette équation et nous aurons trouver le remède pour le Mali.
𝔹onjour
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