À Mopti, les jeunes sont mobilisés contre les homosexuels qui n’hésitent plus à s’afficher publiquement et tentent de faire la promotion de l’homosexualité dans la ville et ses environs. Dans la société mopticienne où le poids de l’islam est considérable, l’homosexualité est considérée comme une déviance sexuelle conduisant un homme ou une femme à rechercher une relation amoureuse ou des rapports sexuels avec un individu du même sexe. La croyance est bien ancrée que l’homosexualité expose au VIH/Sida et favorise la déchéance de la jeunesse.
Le phénomène est très peu connu dans notre société, car il se pratiquait dans la plus grande discrétion. Mais aujourd’hui, les homosexuels de la Venise malienne semblent avoir décidé de s’afficher au grand jour. C’est ainsi que leur association sous la houlette de son président, Seyba Magassa, teinturier de son état et domicilié au quartier Médina Coura, a voulu se faire connaitre à travers l’organisation d’un concert de propagande dans la nuit du lundi 2 au mardi 3 septembre 2013 dans la salle de l’ex-Ocinam.
Un groupe de jeunes bien décidés à empêcher la tenue du concert, a débarqué sur les lieux pendant que la manifestation battait son plein. Armés des fouets et des bâtons, ils ont molesté les organisateurs de la soirée. Après ce premier échec à Mopti, les homosexuels se sont déportés à Médina Coura pour réorganiser leur manifestation dans la nuit du jeudi 5 au vendredi 6 septembre. Les jeunes de la ville se sont encore mobilisés pour empêcher le concert.
Mais deux des manifestants contre la soirée ont été interpellés et placés en garde à vue à la police.
Le vendredi 6 septembre dans la matinée, les jeunes ont organisé une marche de protestation pour réclamer la libération de leurs camarades arrêtés. Ils ont érigé des barricades un peu partout dans la ville. Dans la nuit du vendredi au samedi la tension a pris l’ascenseur. Les manifestants ont allumé des pneus ça et là, obstrué tous les passages. Une fumée noire et suffocante enveloppa la ville.
Face à l’ampleur des regroupements et l’escalade de la violence, les forces de l’ordre sont intervenues pour disperser les manifestants à coups de gaz lacrymogène. Au cours des heurts, le garde Mariko Diakité a été grièvement blessé. Il a aussitôt été transporté à l’hôpital Sominé Dolo de Mopti. Comme un malheur ne vient jamais seul, le véhicule de la protection civile qui a transporté le blessé, de retour de l’hôpital, a fini sa cours dans le ravin après avoir cogné un poteau électrique. Le chauffeur du véhicule s’en est sorti avec un bras cassé.
Le lendemain de l’incident, le garde admis à l’hôpital a succombé à sa blessure. On déplore ainsi un mort et des blessés légers du côté des manifestants décidés à ne pas laisser l’homosexualité prospérer dans leur ville. “Nous sommes décidés à mourir pour cette cause. L’homosexualité ne sera jamais acceptée ici. Il n’est ni dans nos pratiques ancestrales ni dans nos mœurs. Ceux qui veulent le pratiquer qu’ils partent dans les pays où cette pratique fait partie des coutumes”, a lancé un manifestant.
Source: Amap
VIVE L HOMOSEXUALITE AU MALI , ANW NIA FO PIAN.
le monde evolue, mogow toro la sa.
A ye fara ou la.Mogow toro la sa.
Liberte, Egalite, Fraternite, nous sommes tous des enfants du MALIBA.Donc,soyons tolerants, merci.
Laissez les gens respirez.L homosexualite ne date pas d aujourdhui.Tchurrrrrrrrrrrrr
La cause de cette homosexualité relève du développement du tourisme comme seule revenu majeur de votre ville alors que les potentialités économiques sont énormes par ailleurs pour l’envier durablement.
Aujourd’hui le nord est devenu un dépotoir trahissant son histoire parsemée de faits des thaumaturges de notre empire.
tres bien fait les gas. combattez cette pratique satanique partout en afrique.
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