Le ridicule, c’est ce qui fait désormais vivre à la mairie de la CIII. En effet, certains élus municipaux, manipulés jusqu’aux tubes digestifs, exigent coûte que coûte et quoi qui l’en coûte, la ténue d’un conseil municipal extraordinaire. Ce n’est pas tout, ils exigent comme ordre du jour « Le compte rendu du dernier congrès de l’AMM ».Sans se soucier de l’argent du contribuable qui sera gaspillé en guise de « perdiem » au cours de ce conseil extraordinaire, ces élus missionnaires, ont déjà peaufiné leur stratagème, démissionner collectivement en cas du refus de leur Maire principal, Abdel Kader Sidibé. Ces mandataires « véreux » ne peuvent-ils pas attendre une réunion des élus pour débattre la question ? Ou veulent-ils exécuter à la lettre les ordres de leur mentor ?
En tout état de cause, l’on dit que quelque soit sa capacité de nuisance qu’on ne peut pas détruire ce que Dieu a construit.
Mairie du district : La fête du cinquantenaire et le fiston de l’ADEMA !
De nos jours, les agents en fonction au niveau de la mairie du district ne savent plus sur quel pied dansé. Cela, en raison des agissements de leur premier responsable. Lequel, qui s’immiscerait à tord et à raison dans tous les dossiers. Même ceux relevant de la compétence des structures spécialisées et techniques. Du coup, en plus de sa qualité de signataire, il reste principalement l’ordonnateur, le planificateur, l’organisateur…Et attribuerait les marchés à qu’il veut et comme il l’entend. D’ailleurs on annonce même qu’il aurait attribué le marché d’une grande manifestation culturelle à la « fantôme » société du fils d’un baron de l’ADEMA. Pourtant, cette manifestation est considérée comme la plus grandiose, qui sera organisé par la Mairie au compte des festivités du cinquantenaire, ayant nécessité l’instauration de nouvelles taxes pour les contribuables Bamakois.
Que la fête soit belle !
Football : nos Aigles dans les rues de Bamako
Pour cette année encore, les joueurs professionnels de l’équipe nationale du Mali n’ont pas failli à la tradition. Matchs de gala, balades en grosses cylindrées, soirées électriques dans les boîtes de nuits…Bref, ils sont là. Ceux qui n’ont pu offrir à leur pays aucune consécration, malgré leurs célébrités au sein des grands clubs du monde.