Monsieur XX, la quarantaine et de nationalité Béninoise, a rencontré la charmante Maïmouna à Bamako. Une fille venue de Ségou. Le départ d’une aventure amoureuse. Un mariage célébré avec les moyens des parents de la fille. Le père de la fille disposait de la liquidité.
Homme d’affaires, il n’a pas hésité un seul instant à mettre une villa nouvellement construite à l’Aci 2000 à la disposition du couple. Une villa que personne n’avait jamais habité. Le défaut de Monsieur XX, il était connu pour sa fureur sexuelle surtout avec les «bonnes». D’ailleurs, l’homme se prend toujours pour demi-dieu dans la maison et très craint surtout par la majorité des domestiques. Pour se maintenir durant des mois dans la maison, il fallait se sacrifier à la tradition. La livraison au moment où sa femme est au travail. Finalement, ce sont les préservatifs qui ont décidé de vendre notre demi-dieu. Les toilettes bouchées, le plombier appelé à la rescousse constate les dégâts devant la femme de notre homme. Des préservatifs en ordre de bataille s’indignent de cette situation et réclament justice et un peu de respect à l’endroit de ces filles parfois contraintes. Un coup d’acide et puis paf, le conduit est débouché. Cette situation a créé la tension entre les amoureux et c’est la fin du mariage.
Relation amoureuse :
Un cadre s’offre une nettoyeuse dans son bureau
C’est un cadre d’une entreprise de la place qui a profité de sa place pour «décortiquer» la partie intime d’une jeune fille. Selon nos sources, alors qu’après le nettoyage, la fille et ses collègues s’amusaient dans un couloir de l’entreprise comme il est de coutume. Le cadre, pour atteindre sa proie, a envoyé la fille dans son bureau avant de la rejoindre. Suivant la scène, un collègue du cadre fit tout d’abord la ronde pour s’assurer de ce qu’il voyait. Ce fut après qu’il en informa ses collègues qui se mirent à surveiller les entrées de ce bureau. Le cadre, alerté par le bruit que faisaient ses collaborateurs, fit passer la fille par la fenêtre avant de réapparaître tout sérieux. Mais cette dernière rattrapée quelque temps après avoua à ses collègue que le « boss » l’avait bien couchée dans son bureau. Voilà des faits graves. Ils auraient pu être qualifiés, dans un autre contexte, de crimes contre les mœurs.
Affaires des bars a bamako
Un gérant chassé par sa femme
Est-elle vraiment sa femme ? Une question qui aura sa réponse auprès de notre « Don Juan ». Il dirige un bar situé à Baco-Djicoroni avec une expatriée venue du continent asiatique. Elle a décidé de mener les affaires dans le domaine des chambres de passe. Au fil des années, le frottement a créé l’amour entre les deux. Après le travail, place au lit. Ne dit-on pas que l’Africain est sexy ? Elle n’a pas digéré le fait que son chéri la trahisse ce jeudi de la fête de Ramadan. Leur amour est connu de tous les employés du coin. Ce jour de fête, le «Don Juan» qui avait dit à sa charmante dame qu’il partait voir un ami de longue date s’est dirigé à la maison. Il avait donné rendez-vous à une employée à la maison pour sa prière de «jambes en l’air». Par surprise, la dame s’est rendue à la maison pour chercher des liqueurs. Ne me demandez pas ce qu’elle a vu. Il fut chassé sur le champ sous peine de se voir devant les hommes de justice.
Derrière institut manchous
Une prostituée à la recherche du père de son enfant
On ne cessera jamais d’en parler. Le port du préservatif permet tout court d’éviter les grossesses non désirées et les maladies. C’est ce qui est arrivé à Safi. Selon nos sources, c’est une fille qui a pris le relais de sa maman depuis l’âge de 15 ans. Elle se vend à deux mille (2000) avec le chapeau et à trois mille (3000) sans protection. Ce jour là, après quelques bouteilles de bière traditionnelle «yan», les deux complices occasionnels ont pris le chemin d’un hôtel. Il avait droit à certains avantages. Le fruit défendu a été goûté sans le préservatif. Selon nos informations, cela fait deux mois qu’elle est toujours à la recherche du père de son enfant. Le jeune homme ayant appris qu’on était à sa recherche parce qu’il est devenu papa s’est fondu dans la nature. Nous lui souhaitons une bonne chance pour devenir maman.
Rassemblés par
Destin GNIMADI
Aiyez pitier de l’afrique
Ce type-là a un sérieux problème côté braguette!!! Il n’écrit QUE des papiers qui tournent autour de ça!…
Non seulement il écrit de façon lamentable et dans un Français pitoyable, mais en plus, il est complètement obsédé! 😯 😯 😯
Le journaliste a juste compris que c’est ce qui intéresse la plupart des lecteurs, pour ne pas dire la plupart des “gens”, de nos jours.
Ce petit journaliste Destin GNIMADI, ne parle que du sexe. Que la justice le suive bien, car un obsédé comme lui est capable du pire dans une société.
Sacré Destin, toujours dans les affaires de jambes fines.
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