C’est sans appel : la nouvelle danse qui fait fureur en Jamaïque et qui se répand comme une traînée de poudre dans les grandes capitales du monde entier gagne du terrain dans la ville de Bamako.
Elle consiste à imiter diverses positions sexuelles au rythme de la musique, mais cela n’est pas sans danger. Et en Jamaïque où la nouvelle danse a été créée, les médecins ont constaté une hausse alarmante du nombre des fractures du pénis.
Déjà, la nouvelle danse est à la mode dans les boites de nuit et les maquis de notre capitale. Les hôpitaux maliens qui enregistrent des cas doivent désormais faire face à un fléau inattendu : une augmentation anormale du nombre d’admission pour une fracture du pénis. Cette augmentation tout à fait exceptionnelle est en fait directement liée à une danse à la mode sur l’île, le « Daggering ». Dire que cette danse a une connotation érotique serait un euphémisme.
En effet, cette danse consiste à imiter l’acte sexuel dans des positions les plus acrobatiques et cela en suivant un rythme endiablé. Attention, des scènes pouvant paraître choquantes !!!
Selon certains témoignages, les médecins ont tiré la sonnette d’alarme sur le fait que le nombre de fractures de pénis augmente ces derniers temps. C’est ce qu’a déclaré un grand maquisard de la place et qui est très fréquent au niveau de la boîte de nuit « Ibiza ». Et un médecin que nous avons rencontré d’expliquer de quelle manière la fracture pouvait subvenir : « pendant des rapports sexuels particulièrement violents, le pénis de l’homme peut venir heurter l’os pubien de la femme, ce qui peut provoquer une fracture. Celle-ci se caractérise par un bruit de claquement, une très forte douleur et un gonflement. »
Cela n’est pas à prendre à la légère, puisque les dégâts sont parfois irréversibles.
Les médecins s’évertuent donc à alerter la population sur les dangers de cette danse.
Jean pierre James