On recueille cette pensée de Simone de BEAUOIRE selon laquelle « Qui nie les liens du sang foule aux pieds les valeurs les plus sacrées.»
En effet le sang est cette expression qui n’utilise aucune voix externe pour maintenir la communication entre ceux qui le partagent.
Ce médecin traumatologue de la quarantaine reconnait sa sœur dont il ignore l’existence grâce au langage du sang.
Ça c’est passé le samedi 06 mai 2015 dans un des grands centres hospitaliers de Bamako, le docteur qu’on nomme MK était de garde ce jour dans le service des urgences.
Cette journée de samedi pas comme les autres pour notre urgentiste. MK reçoit dans ses services aux environs de 15 heures, une fille de la trentaine gravement blessée suite à un accident de la circulation.
Après avoir préparé la victime pour les soins, l’assistance fait appel à Dr MK réputé pour son professionnalisme dans les situations délicates.
Introduit dans la salle, en contact direct avec la victime, Dr MK a été frappé d’une forte douleur crânienne, une sensation selon lui inhabituelle qui ne l’empêche tout de même pas d’avancer vers sa patiente.
Arrivé au chevet de la fille, Dr MK qui ne parvient pas à supporter de voir la fille dans son état, commence à ressentir des vertiges.
Ne comprenant toujours pas ces réactions étranges, le traumatologue demande néanmoins à être remplacé par un collègue pour que la fille bénéficie des soins.
A la fin de la journée, MK qui finit normalement sa garde décide comme par obligation de rester auprès de la victime dont il ignore complètement.
Même après l’arrivée de la famille de la victime, MK entend comme par magie une voix qui l’encourage à veiller sur elle.
Cependant nonobstant tous les efforts et professionnalisme de Dr MK et collègues pour l’amélioration de l’état de santé de la victime, ils n’ont pu lui alléger la douleur qui a eu raison d’elle. La jeune dame rend l’âme dans la nuit du samedi au dimanche.
Le docteur encore affecté par la succession des évènements choisit alors de chercher la famille de la victime pour présenter ses condoléances.
Au cours de cette visite, il a été surpris de s’apercevoir que cette fille n’était autre que sa demie sœur, une fille que son père a eue avec une femme et qu’il a refusé de reconnaitre.
M. K. DIABATE (maliweb.net)
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Djeliba, i diabaté!
Bonne arrivée a mr Diabaté au club KABAKO de nos amis Diarra et son collegue du journal Independant Il faut dire que vs ,vs frappez fort quand mm !!! le titre n’a rien avoir avec les niaiseries qui suivent Bravo
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