Dans le récit de cette histoire, la contribution de K la sœur pour son frère D a tout l’air d’un cadeau empoisonné qui ne dit pas son nom.
Selon le témoignage de la femme et d’autres sources concordantes, F la femme de D a été obligée de rembourser l’intégralité de la dote que sa belle sœur a donné à son mari pour l’épouser. Voici les faits.
Monsieur qu’on désigne par D et sa femme F ont longtemps vécu ensemble en relation libre avec le projet de mariage sans ressource pour financer. Plusieurs années passées, la famille de F a décidé de lui donner en mariage à un autre homme étant donné que D n’a pas l’intention d’officialiser leur union. Lorsque F en a parlé à D, lui à son tour a informé sa famille de la décision des parents à la fille.
Connaissant le degré d’amour que D éprouve pour F, sa mère a dissuadé K sa sœur qui a assez de moyens de venir en aide à son frère en vue de lui donner la chance d’épouser la femme qu’il a choisi.
Sans détours la sœur de D a avancé le montant nécessaire pour les fiançailles et le mariage religieux pour que F déménage chez D en attendant d’avoir le moyen d’organiser le reste.
Lorsque F a démenagé chez D, tout se passait normalement jusqu’au jour où F s’est rendue chez ses parents pour un mariage, où elle a passé la nuit sur autorisation de D son mari.
A son retour le lendemain, K la sœur de D a convoqué un conseil de famille pour dire à F que le mariage n’a pas encore été consommé pour qu’elle se permette de tout chez eux. Pour s’expliquer, F lui a fait savoir que c’est son mari qui lui a donné la permission.
Suite à cette réponse de F, K qui croit avoir plus de droit sur F que son mari n’a pas hésité à lui dire que son mari ne peut l’autoriser à se comporter de quelques manière que se soit dans la mesure où il n’a été capable de payer même sa dote.
Il faut reconnaitre que cette vérité a frappé F dans sa dignité d’épouse et juste après la réunion, elle a demandé à son mari de lui communiquer le montant exact que sa sœur lui a remis pour les fiançailles. Après avoir connu le montant, F qui fait le petit commerce a utilisé son fond de commerce pour donner la somme à son mari de remettre à sa sœur afin que l’autorité de la gestion de leur couple lui revienne de droit.
Comment feriez-vous à la place de F ?
M. K. DIABATE (maliweb.net)
On écrit la dot et non la dote, cher journaliste.
F devrait rester discrète dans la mesure ou elle a honoré son frère, c’est pourquoi il dangereux que la femme aide une personne dans la discretion, car un jour elle va devoiler tout le secret. La belle soeur a raison de rembourser et puis je lance un appel a D de tout faire pour rembourser a son tour sa femme, sinon il va rester esclave de sa femme quel que soit le degré d’Amour dans la famille.
A votre place Monsieur le scribe, je prendrai de solides cours de grammaire et de vocabulaire…
Ouffff les mots me manque.
Beaucoup de gens pensent que ce sont les hommes qui constituent la base des problèmes d’épanouissement de la femme. Pourtant si nous regardons dans bien de situations, les femmes sont plus à l’origine de la plupart des problèmes du genre féminin (Muso).
🙄 f ,a tres bien fait une belle-seour grande geulle ,il y’a trop ,heureux menage à vous surtout chercher votre petit coin a vous et eviter cette cette belle-seour 💡 ❓ 🙄 😈 😈 😈 😈 😈 😈 😈
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