Une dame qui a eu la malchance d’emprunter son taxi a été, elle aussi, soulagée d’un montant de 100 000 FCFA avec le même mode opératoire à savoir : garer le taxi prétextant qu’il va uriner avant de foncer droit sur sa victime avec son coupe-coupe.
Contrairement à ses deux premières victimes, la dernière a pris soin de retenir un numéro de téléphone inscrit sur le tableau de bord de la voiture. Aussitôt après son agression, elle s’est rendue à un poste de police pour raconter sa mésaventure tout en donnant le numéro inscrit sur le tableau de bord.
Grâce à ce numéro, les limiers ont facilement interpellé le promoteur du taxi qui se trouve être aussi le chauffeur. Celui-ci aurait “collaboré” avec la police en lui révélant qu’il avait confié son engin à un “Américain” NDL (des chauffeurs sans véhicule qui profitent du repos de leurs collègues pour prendre la relève).
Selon les mêmes sources, dès qu’il a appris l’interpellation du promoteur du taxi, le chauffeur indélicat aurait pris la tangente. Toute chose qui doit interpeller nos concitoyens à plus de prudence.
M.DIARRA (maliweb.net)
Il faut garder le promoteur alors
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