Le jeune commissaire de la ville de Koulikoro à peine investi dans ses fonctions n’aura pas de répit pour se mettre au travail, tant les dossiers brûlants se multiplient sur son bureau concernant essentiellement des cas d’attentat à la pudeur.
l y a deux semaines, la police de Koulikoro a enregistré une plainte pour viol d’une jeune lycéenne de 16 ans environ. Son nom nous tairons pour raison de pudeur.
Selon la police, la jeune fille en se rendant tôt le matin à l’école, a croisé sur son chemin un jeune de 24 ans environs répondant au nom de Nacounté Diarra employé dans une société de fabrique d’emballage à Bamako. Celui-ci sentant la position d’infériorité de la fille et vu que l’endroit est entièrement désert ne passa pas par mille chemins, il s’acharna sur la fille en la menaçant avec un couteau et la poussant jusqu’à un endroit parfaitement discret et passa à l’acte. Avant d’abandonner la jeune fille, il lui ordonna de lui donner son numéro de téléphone, et qu’au cas où elle parlerait de cette affaire à quelqu’un, il utilisera le numéro pour la retrouver.
Les parents une fois mis au courant, porteront plainte auprès des autorités judiciaires de Koulikoro et la police fut chargée de l’enquête.
Après interrogatoire, les limiers recommanderont aux parents d’inviter le jeune homme à la maison pour traiter l’affaire à l’amiable. Sans réfléchir, le gros poisson va mordre à l’appât, les éléments du commissariat sont allés le cueillir dans la famille de la jeune lycéenne et il fut immédiatement admis à la garde à vue au niveau du commissariat et mis plus tard à la disposition du parquet.
Cette affaire vient de mettre à nu tous les risques et dangers que cour le monde scolaire à Koulikoro et partout ailleurs au Mali. Si à un certain niveau on accable l’insécurité au sein des écoles, l’acharnement des enseignants sur les élèves comme un acte d’insécurité, c’est surtout sur le chemin de l’école que les élèves sont de plus en plus exposés.
Zoumana NAYTE
Correspondant à Koulikoro
Il y a trop de zones d’ombres dans cet article. Une des plus brûlante est comment les parents de la fille ont pu contacter le jeune homme?
Lorsqu’il exigea le numero peut être bien qu’il a dû vérifier en composant !
BIEN DIT MON FRERE COMMENT LES PARENTS ON EU LE NUMERO DU JEUNE C ETONNANT Q ON NS RACONTE D N IMPORT QUOI
IL FAUT LA PEINE DE MORT POUR LES VIOLEURS LES ASSASSINS LES VENDEURS DE DROGUE ET LES BANDITS DE GRAND CHEMIN et vous verrez le mali sera complètement en securité
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