S. Kontao, (75 ans), enseignant à la retraite et pêcheur de son état, s’est installé à Djikoroni depuis près de 15 ans avec ses deux épouses et ses quatorze enfants.
L’une de ses filles. A.K. étudiait dans un collège en Côte d’Ivoire. Là, elle s’est trouvé un petit copain, Jacques, un jeune transitaire installé à Abidjan qui promettait de l’épouser.
La jeune fille ayant terminé ses études est rentrée définitivement au pays en janvier dernier et a, dès son arrivée à Bamako informé ses parents de ses projets avec son jeune Baoulé.
Le vieux Kontao ordonna à sa fille de faire venir à Bamako le garçon en question pour que ce dernier prenne contact avec sa future belle famille.
Ainsi, depuis mars dernier, Jacques a débarqué à Bamako où il a été accueilli dans sa future belle famille. L’invité cependant ignorait que le gros manguier qui se dresse derrière la concession du vieux Kontao est dit « hanté par des Diables » qui s’attaquent quelquefois aux noctambules.
En bon Baoulé, Jacques s’est interdit de partager les mêmes toilettes que ses beaux parents. Et le problème, il l’a vite résolu tout seul, grâce au manguier « hanté » sous lequel, une fois la nuit tombée, il fait ses besoins.
Pour se laver, Jacques se rend tous les matins au fleuve. Sa thèse est peu ordinaire : « l’eau du puits me donne des démangeaisons ».
Tout se passait très bien pour Jacques dans sa belle famille, jusqu’à ce 23 mars 2016, quand des voisins régulièrement gênés par la mauvaise odeur provenant de l’arbre « hanté », ont informé la belle famille de Jacques, de leur volonté de mettre la main sur l’imposteur qui souille les lieux.
Toute une journée de surveillance, mais, en vain.
On en est venu à conclure que les déchets dont la quantité augmente chaque jour, étaient plutôt « déposés » sous l’arbre, nuitamment.
L’unanimité a aussi été établie sur le fait que, ce n’était pas les « Djins » qui salissaient les lieux, mais bien une personne ordinaire.
Mais, comment oser s’aventurer à guetter et surprendre cette mystérieuse personne auprès du redoutable arbre hanté ?
C’est alors que le vieux Kontao et deux voisins eûrent l’idée de consulter le marabout du coin.
Celui-ci leur donna l’autorisation de surveiller l’arbre sacré pendant toute la nuit du 25 mars. Et, vers minuit, les « surveillants » encore bredouilles étaient sur le point de renoncer à la veillée, quand, un jeune homme visiblement très « pressé » , s’avança vers l’arbre, ôta son pantalon et … commença à “travailler”. Aussitôt, Mr Kontao et ses voisins avec bâtons et gourdins se sont jetés sur l’infortuné. Jacques a été sérieusement tabassé avant d’être reconnu par son beau-père Kontao qui dirigeait l’expédition.
On arrêta aussitôt la punition. Toute la famille Kontao et les voisins, alertés par les cris du malheureux, étaient peu après sur les lieux. Mais, ce n’était toutefois là que le début d’une nouvelle affaire.
Depuis deux semaines, Jacques a décidé de retourner en Côte d’Ivoire.
Selon le futur mari de la fille du vieux Kontao, son voyage précipité a pour objectif de rassembler les fonds nécessaires pour la célébration du mariage.
Cependant, connaissant bien son Baoulé, AK, la fille de Mr Kontao est depuis, devenue inconsolable car, elle est convaincue d’avoir perdu définitivement son futur mari.
Boubacar Sankaré
cette histoire a été une fois dite ici mais encore vous la redigez , vous êtes mal inspirés monsieur le journaliste.Arrêtez de repeter les histoires et en trompant les gens comme si l'histoire ś est passée tout recemmment …….
cette histoire a été une fois dite ici mais encore vous la redigez , vous êtes mal inspirés monsieur le journaliste.Arrêtez de repeter les histoires et en trompant les gens comme si l'histoire ś est passée tout recemmment …….
Sankaré, tu es une HONTE à la profession!
Tu n’as même pas honte de toujours raconter des inepties, et pire, toujours la même rengaine. Le journal “Le 26 Mars” doit vraiment être désespéré pour cautionner un torchon pareil, à fortiori le publier.
Honte à toi, encore HONTE à toi.
ps: de grâce, si tu n’as pas de respect pour les autres, essais d’en avoir pour toi-même.
Encore une vieille histoire déjà racontée, pas même de changement
Toi Sankaré tu nous prend pour des bêtes chaque année tu répète la même chose cherche autre histoire
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