M. Sidibé est vendeur de chaussures au grand marché de Bamako.
Agé d’environ 60 ans, notre commerçant, qui est encore solide, est père de plusieurs enfants. Il est marié à deux femmes. Domicilié à Boulkassoumbougou, M. Sidibé partage sa concession avec des locataires parmi lesquels un marabout auquel il a offert la gratuité du logement.
Comme tout bon polygame, notre commerçant dont les affaires marchent à merveille, partage ses nuits entre ses deux femmes qui le couvrent d’amour et de tendresse. L’harmonie dans la famille était si parfaite, que celle-ci suscitait l’envie des voisins. Tout devait cependant voler en éclats le 25 juin dernier, lorsque le vieux Sidibé découvrit que sa 2ème épouse le trompait… Et l’impertinent qui était à la base du scandale n’était autre qu’un neveu du commerçant que celui-ci hébergeait depuis un an.
En effet, le garçon indélicat, étudiant de son état, était tombé amoureux de la deuxième femme de son oncle, laquelle n’avait pas refusé ses avances. Et chaque fois que le vieux Sidibé passait la nuit dans la chambre conjugale de sa première épouse, son neveu, lui, se retrouvait dans celle de l’autre.
L’affaire était connue de toute la concession à l’exception de M. Sidibé. Ce dernier fut informé de la situation par le jeune marabout à qui il avait également accordé la gratuitement le logement dans la concession. Pour toute réaction, le vieil homme chassa, son indélicat neveu de sa maison.
Le jeune marabout entra alors dans le jeu afin de réconcilier le couple. Il fallait agir dans les deux sens : le marabout était, donc, constamment entre le salon de Mr Sidibé et la chambre de sa jeune épouse. Au premier, il ne cesse de demander le pardon, la tolérance, à l’autre, le repentir. Mais rien n’allait toujours dans le couple. M. Sidibé avait décidé de réfléchir quelques temps avant d’accorder son pardon à sa femme.
Le médiateur de marabout, lui, continuait de slalomer entre la chambre du mari et celle de l’épouse.
Il faut croire qu’il avait même réussi la réconciliation. Car, en cette nuit du 1er Juin dernier, aux environs de 2 h du matin, Mr Sidibé se dirigea vers la porte de la femme. Toc ! Toc ! Madame ne répondit pas. Toc ! Toc ! Toc ! Même un sourd pouvait entendre le vacarme fait par le vieux mari.
Les voisins s’étaient réveillés et certains d’entre eux regardaient ce qui se passait devant la porte de la femme réputée infidèle.
De l’extérieur, M. Sidibé et les voisins, à l’affût, entendaient des voix au fond de la chambre. Madame se décida enfin à ouvrir. Stupéfaction ! Dans la chambre, elle n’était pas seule.
Quelqu’un lisait le Coran, et à haute voix. Lumière ! Notre lecteur de Coran n’était autre que le jeune marabout-médiateur, qui n’avait pour l’occasion, ni chapelet, ni “kitab” et n’était habillé que d’une culotte et d’un tee-shirt. C’est pourquoi, d’ailleurs on ne le reconnaîtra que lorsque le vieux cocu, complètement déchaîné, l’eut roué de coups de bâton… jusqu’à évanouissement. C’est vers 5h du matin que notre marabout a été remis à certains fidèles qui venaient d’habitude le chercher pour la prière du petit matin. Couvert de honte, le jeune marabout, à peine sorti de la concession, mit ses jambes à son cou, sans attendre de recevoir « les biens » qu’il avait abandonnés : une trentaine de « baya » (perles dont les femmes se ceignent la taille), une peau de prière et quelques habits.
Boubacar Sankaré
article no sens,vous ecrivez juste pour gaspiller de l’encre et le temps des lecteurs.
C’est normal quand on n’a rien dire on peut se permettre de dire des racontards de genre. Quel journaliste malien est présent au Nord pour nous édifier de qui se passe la bas tandis un journaliste nigérien y est présnt. Merci passez tout votre temps à raconter les histoires des grins.
le marabout en quetion je le conait cest karamoko DIAKITE il se trouve au bourkina depuis une semaine il vend les cola au marche du bobo
Vous passez tout vos temps à ces balivernes c’est pourquoi les rebelles vont prendre tout le mali pendant que vous vous nous sortez que des sornettes de la sorte on s’en fout de toutes ces conneries bon dieu serieusement vous n’avez rien d’autre à dire?
Messier Sankaré, tu es notre esclave c’ est pourquoi tu nous attaques. Les Sankaré sont les plus menteur de la planette. Vous avez fuit la guerre, c’est nous qui vous avons capturé pour vous rendre en esclavage. Tu me fais rire Messieur Sankaré. Je crois que le journalisme aujourd’hui là où nous sommes, c’est de lancer un appel à toute la jeunesse Bamakoise de réjoindre les autres jeunes du Mali qui sont à Sévaré pour lancer un assaut sur ces gens qui sont vénus d’Arabie Saoudite, du Qattar, de Pakistan, de L’Afganistan, d’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie, de la Lybye, du Nigéria d’un peu partout dans le monde pour nous infliger ce sort que ATT nous a réservé. Messier Sankaré, je voudrais que vous dite aux noirs qui les suivent que l’Islam n’est pas la réligion des noirs et c’est dit dans le coran que chacun a sa réligion
au mali les gents fait confiance a tout ceutx qui dit qu ils ont marabous
Pour bien mentir il faut être genie. Ce marabout te demadera des comptes le jour du jugement pour l’avoir sali dans ton sale histoire de plaisantain.
ce marabout c est un dogon
Wouya BIDA 😆 😆 😆
monsieur sankaré vous dites L’harmonie dans la famille était si parfaite, que celle-ci suscitait l’envie des voisins. Tout devait cependant voler en éclats le 25 juin dernier, lorsque le vieux Sidibé découvrit que sa 2ème épouse le trompait… Et l’impertinent qui était à la base du scandale n’était autre qu’un neveu du commerçant que celui-ci hébergeait depuis un an.ensuite vous racontez que Le médiateur de marabout, lui, continuait de slalomer entre la chambre du mari et celle de l’épouse.
Il faut croire qu’il avait même réussi la réconciliation. Car, en cette nuit du 1er Juin dernier, aux environs de 2 h du matin, Mr Sidibé se dirigea vers la porte de la femme. Toc ! Toc ! Madame ne répondit pas. Toc ! Toc ! Toc ! Même un sourd pouvait entendre le vacarme fait par le vieux mari.
Les voisins s’étaient réveillés et certains d’entre eux regardaient ce qui se passait devant la porte de la femme réputée infidèle.les dates ne correspondent pas et vous racontez des histoires
lui s’est un DIARRA ou un KONE
JE PROTESTE 😈 COLONEL,LES DIARRA SONT MES “BOURANKE” TU PAYERAS LES COLAS DES DEMAIN 😆 😆 😆
attention les diarra sont mes bouranakaw
😆 😆 😆 😆 😆
il il lisait quelle sourate pendant qu on y est
Flake I Sankare 😆 😆
Comments are closed.