Histoire : … d’un “Koroboro”

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    Après avoir purgé une peine de quatre ans à la maison d’arrêt de Bamako pour vol à main armée, B.T.  en est sorti depuis deux ans et semblait avoir décidé de changer de comportement.

     

     

    C’est pourquoi, aidé par ses parents à Kalabankoro, celui qui aura été un téméraire délinquant dans le quartier, s’y est installé cette fois-ci comme étalagiste, non loin d’un “Koroboroboutiqui”. Le petit commerce ne marchait apparemment pas. Mais, paradoxalement, B.T. était prospère et est vite devenu le chouchou des jeunes filles du quartier.

    D’où tirait-il tant d’argent ? Personne ne se posait la question, puisque, B.T. est toujours à son stand.

     

     

    Le masque tombera le 10 novembre dernier.

    Ce jour-là, M. Maïga, le boutiquier d’à côté dormait profondément dans sa boutique fermée à double tour, quand vers 3 heures du matin, un homme lui est tombé dessus du… plafond. M. Maïga se réveilla en catastrophe, alluma les ampoules et se trouva face à l’intrus, B.T. l’étalagiste.

     

     

    Que fait notre homme ici ?

    “Koroboro” avait la réponse en regardant par où son visiteur était entré : le toit en tôle était troué. Armé d’un sabre, M. Maïga obligea donc l’ancien locataire de la maison d’arrêt de Bamako à passer aux aveux.

     

     

    Le bandit reconnût avoir passer une soirée à scier le toit du boutiquier, alors que celui-ci était absent, afin de se frayer un passage secret pour dévaliser sa victime.

     

     

    Depuis, confessa B.T., il rendait très souvent visite à A. Maïga après 0 h, car “Koroboro” est un adepte de Morphée.

     

     

    Du coup, A. Maïga se mit d’abord à pleurer, pour ensuite crier de toutes ses forces.

    Tous les voisins alertés, se ruèrent sur les lieux.

     

     

    Le boutiquier ouvrit enfin la porte mais, au lieu d’expliquer le problème, il tomba évanoui.

    L’idée que le voleur vivait depuis deux ans grâce à ses biens, lui a été insoutenable.

    Alors qu’on s’occupait à réanimer A. Maïga, B.T., blotti devant le comptoir, a profité de l’inattention de la foule pour détaler comme un lapin. Depuis, il n’a plus été revu.

    Quant à A. Maïga, il semble avoir complètement perdu la tête, car, depuis la nuit des événements, il dort et se réveille avec une calculatrice qu’il ne cesse de manier.

    Peut-être pour avoir une idée de tout ce qui lui a été volé….Le pauvre !

     

    Boubacar SANKARE

     

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    4 COMMENTAIRES

    1. oufffffffffffffffffffffffffff, on est fatigué de cette histoire ohhhhhhhhhhhh. Mr le journaleux, mieux vaut te taire que de nous faire narrer tes betises. Pardon ohhhhhhhhh, je te redemande une fois de plus, ne nous raconte plus ce baratin. A bon entendeur, salut. Aiiiiiii, c’est quoi ça

    2. Je n’arrive toujours pas a comprendre les journaleux maliens, un meme article publié pendant 3 ans avec le meme contenu, comme si les faits divers ne se ptoduisent plus. N’importe quoi

    3. poufffffffffff
      tchie faran na sa
      galon dabila
      ¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤

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