Hamdallaye : ‘’Le fils d’un ministre’’ échappe au lynchage après avoir percuté violemment trois motocyclistes

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    Ce samedi 21 janvier 2017, vers 16 heures, le fils d’un ministre, ivre au volant d’un véhicule de marque JMC, a violement percuté trois motocyclistes à Hamdallaye sur la route de Lafiabougou Avenu Cheick Zayed . La violence du choc de l’accident n’a donné aucune chance aux motos Jakarta  réduites en  morceaux éparpillés sur le goudron.

    Selon les témoins oculaires de l’accident, le véhicule Pik up  de marque GMC est venu d’une rue en face de la pharmacie Fata pour se jeter sur le goudron sans aucune prudence. Du coup, il a  percuté violemment les motocyclistes en provenance de Lafiabougou.

    D’autres témoins expliquent que la violence du choc de l’accident a projeté ces motocyclistes en l’air avant d’atterrir sur le goudron. Sorti ivre du véhicule, l’indélicat chauffeur d’une vingtaine d’années, s’est réclamé fils d’un ministre avec arrogance. Il n’en fallait pas plus pour provoquer la colère de la foule qui n’a pas hésité à le bastonner proprement. Battu jusqu’au sang, « le fils du ministre » n’a eu la vie sauve que grâce  à l’intervention de certaines bonnes volontés venues à sa rescousse. Bref, il a échappé à un lynchage. Actuellement les accidentés sont soumis à des soins intensifs.

    D. Togola

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    4 COMMENTAIRES

    1. Mauvais journaliste,mauvais article.Les noms du jeune et son ministre de père,tu les as mis où?
      Vous faites vraiment honte à cette belle profession.

    2. sur le fond, aucun élément de preuves puisque même “fils de ministre” est entre guillemets. ivre, sous stupéfiants ou normal comment fait t’on pour savoir la différence? qui a établit l’état du conducteur?

      Sur la forme, on ne parlera jamais assez du soin à apporter à la rédaction des articles, faites vous relire, ne soyez pas dans l’urgence, un travail bien fait avec des sources identifiées et identifiables ne sera que bénéfique pour vous journalistes.

      et sur l’article en lui même, encore une fois nous nous faisons justice au risque de commettre l’irréparable. mais nous ne serions pas dans cet état si la justice travaillait correctement (il y en a qui sont corrects mais les autres ont gâté le nom de la profession…)

      • D’accord avec toi mais hélas. Comment veux tu que dans un pays anachique ou ni les politi-chiens, la société civile et religieuse laissent a désirer ????????????????????????

    3. Le nom de l’enfant et pourquoi pas le nom du père. Votre information est incomplète merci et courage

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