Gourmandise sexuelle : Maimouna paie les frais d’un…

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    Cette histoire que nous allons vous raconter, loin de relever de la fiction, s’est bel et bien déroulée dans un maquis de la capitale. Un maquis assez fréquenté par les noctambules et amateurs de la bière et de la «viande fraîche».

     

     

    Maïmouna –c’est son nom -, est une véritable «gazelle de nuit». Belle, mignonne avec sa poitrine attirante, elle ne peut laisser aucun homme indifférent. Son 1er mal : elle a choisi le chemin des maquis, donc de la prostitution, au lieu d’être une bonne dame au foyer. Ce qu’elle avait oublié, c’est que le maquis a ses inconvénients. Son second mal : elle est accroc du sexe, toujours insatisfaite et ne rêve que des billets de banque. Un samedi, vers une heure du matin, un homme débarque dans le maquis où se trouve Maïmouna et les autres professionnelles du sexe, toutes aux aguets comme des «chats qui attendent des souris». L’homme, de taille svelte, est élégant, souriant et semble, à première vue, avoir du fric. Voilà qui attise alors l’attraction des gonzesses du maquis. Sur qui tombera son choix, se pose chacune la question, surtout que ce samedi «la clientèle était morose».

     

     

     

    L’homme qui serait un Nigérien du nom de N.M, avec un calme olympien, commanda une sucrerie (Fanta) et commença à la siroter. Saisissant cette opportunité, il parcourra la morphologie et la qualité physique des prostituées assises dans leur coin comme si elles étaient à une séance de cinéma. Enfin, son choix porta sur Maïmouna. Il lui fit signe de la main. Se prenant pour l’«heureuse élue» de la soirée, Maïmouna se précipita, ne sachant pas ce qui l’attendait.

     

     

    Confortablement assise à côté de son «homme», la causerie s’engagea. Un, deux et trois tours de table, Maïmouna qui prenait de la bonne Guinness alors de N.M se contentait de sa Fanta, était satisfaite. Mais, après avoir demandé au Nigérian de «faire plaisir» à quelques-unes de ses «amies» ; ce qui n’était absolument rien pour ce dernier. Entre temps, le «marché» fut conclu : 25.000 FCfa pour une heure de temps. Formidable ! Puis direction, la chambre de passe.

     

     

    Une fois à l’intérieur et la porte étant bouclée à double tour, le «match» proprement dit devait commencer, mais à la découverte du «manitou» du Nigérian, Maïmouna s’écria les yeux hagards : «c’est trop gros !». Pour la calmer et la rassurer, il lui paya les 25.000 FCfa conclus. Mais, dès l’entame du «jeu de jambes en l’air», Maïmouna supplia N.M de la laisser, car c’était trop pour elle, en lui remettant ses 25.000 FCfa. Chose faite, mais, l’homme poursuivait, à tel point que Maïmouna lui remis les pauvres 10.000 FCfa qu’elle avait dans son portefeuille, espérant que N.M aura finalement «pitié» d’elle. Mais, c’était sans compter sur la volonté de celui-ci d’aller jusqu’au bout de ses ambitions sexuelles.

    Excédée, Maïmouna marmonnait, invoquait ses ancêtres, mais rien n’y fit. «Au secours, il va me tuer…Au secours, un serpent…», finit-elle par crier avec les petites forces qu’il lui restait. Les gardiens et les noctambules présents accoururent, certains munis de bâtons et d’autres, de gros cailloux. On lui demanda d’ouvrir la porte. Tout tranquillement, N.M s’habilla correctement et ouvrit la porte. A Maïmouna qui s’était également habillée, on demanda ce qui se passait. Elle répondit avec une voix tremblotante : «Il…i..il… y a …un…serpent…dans son pantalon», en indexant les couilles du Nigérian.

     

     

     

    Les uns et les autres, ayant compris ce qui venait de se passer, laissèrent tomber leurs bâtons et cailloux et vidèrent le coin. Quant au Nigérian, avec ses 35.000 FCfa, il sortit tout souriant et pris un taxi pour une destination inconnue. Tandis que, toute honte bue, Maïmouna l’insatiable sexuelle ne savait comment sortir de la chambre de passe, surtout qu’elle n’avait sur elle aucun rond pour rentrer à la maison. Il a fallu le concours de ses camarades prostituées pour qu’elle se tire d’affaire. Et depuis lors, elle a déserté ce maquis, après avoir eu cette bonne «leçon du gain facile» de la part du Nigérian.

     

    Bruno LOMA

     

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    13 COMMENTAIRES

    1. MDR NIGERIEN OU NIGERIAN ? MOI PAS COMPRIS…………………………………………. IL EST REPARTI AVEC 35000F ALORS QU AU PARAVANT LA PUTE LUI AVAIT REMIS SES 25 000 PLUS LE BONUS DE 100000……………………….. BREF UNE HISTOIRE A DORMIR DEBOUT………………. :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

    2. le sexe ma chère c’est comme une porte monaie si tu le sort n’importe comment, tu n’aura que n’importe quoi.
      la prochaine fois il faut trainer tes clients douteux dans un coin et voir dans ses pantalons avant d’accepter le clacico.lol…

    3. Peute etre le gas l’a mis dans son cul sans lubrifier la partie, c’est pourquoi elle criait,sinon je ne crois pas que ca soit un serpent.

    4. VRAI MEC !!!BRUNO TOUJOURS TES HISTOIRES DE PROS;UN RAT DE BAR OU QUOI 😆 😆 😆

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