Elles sont nombreuses aujourd’hui, les filles, qui, faute d’avoir trouvé mieux, deviennent des serveuses dans des bars, restaurants, hôtels pour des salaires dérisoires qui les exposent à toutes sortes de dangers sans compter les tentations auxquelles elles sont exposées.
Les bars, restaurants, hôtels… sont des lieux très fréquentés. On n’y croise toute sorte de personne.
Faute d’avoir trouvé mieux, nombreuses sont les filles qui embrassent le « métier » de serveuses dans ces lieux, temples de toutes sortes de déperdition et d’atteintes aux bonnes mœurs.
L’appétit venant en mangeant, nombreuses sont les filles qui commencent par le métier de serveuse avant que la tentation ne les dirige vers la prostitution où elles peuvent gagner plus. Car, la pudeur et le bon sens ne sont pas toujours au rendez-vous dans ces genres de lieux où l’argent est roi.
Ces jeunes filles font face à toutes sortes de problèmes sur leurs lieux de travail : des clients qui font souvent des propositions indécentes, des clients qui, face au refus de la serveuse d’accéder à leur demandent leur rendent la vie difficile sur leur lieux de travail. Allant même souvent jusqu’à mentir à leur patron fin qu’elle soit renvoyée de son travail.
Conscientes de la situation dérisoire de leurs salaires, de nombreuses filles finissent par céder aux propositions de certains clients qui les attendent à leur descente de travail. Ayant pris gout à cela, elles finissent par se retrouver sur ces mêmes lieux avec un autre statut : celui de « belles de nuit ».
Sans compter que sur ce genre de lieu, les patrons peuvent tout se permettre : licencier une serveuse pour un rien ou encore soustraire de son salaire les prix des verres brisés ou encore des clients indélicats qui se sauvent sans avoir payé leur addition…
Autant de choses qui poussent certaines de ces filles vers la prostitution car certaines d’entre elles, après la soustraction de toutes ces sommes de leur maigre salaire se retrouvent presque sans argent. Et lorsqu’il faut payer le loyer et se nourrir, elles n’ont d’autres choix que de se prostituer en acceptant souvent les propositions indécentes de certains clients.
En plus de la prostitution, le métier de serveuse, surtout dans les bars et hôtels peut exposer ces filles à la consommation de l’alcool, la cigarette et même la drogue. Car, à force de servir les clients, elles vont être tentées de goutter cette boisson pour savoir pourquoi elle est autant consommée par ceux-ci.
Rares sont les filles qui disent avoir choisi ce métier par amour. Dans la plupart des cas de figure, c’est le manque de moyens et de soutien qui est évoqué.
MR, serveuse dans un bar à Kati explique pourquoi elle s’est retrouvée dans ce métier dont elle peine à sortir. Selon elle, elle n’a pas pu achever ses études car elle s’est retrouvée avec un enfant sous les bras dont elle devrait s’occuper. Car le père a refusé d’assumer ses responsabilités. Face à cette situation poursuit-elle, il fallait qu’elle fasse quelque chose pour s’occuper de son enfant. Après avoir cherché un emploi en vain, c’est seulement dans un bar qu’elle a été acceptée comme serveuse dit-elle.
Avant d’ajouter que dans ce milieu, le salaire est maigre, mais certaines filles gagnent de l’argent à coté en acceptant souvent de passer la nuit avec certains clients.
Selon elle, dans certains bars, les filles n’ont pas le choix car c’est le patron même qui leur recommande de satisfaire les moindres désirs et exigences des clients. Une serveuse qui ne satisfait pas à cette demande perdra à coup sûr son travail.
Cette ancienne serveuse du nom de HN témoigne que c’est à cause de tels comportements qu’elle a préféré arrêter son travail dans un bar en commune I.
Titulaire d’un diplôme en anglais, faute d’emploi, HN s’était retrouvée dans un hôtel de la place comme serveuse. Mais au bout d’un certain temps, elle dit avoir arrêté son travail dans ce bar à cause des comportements de certains clients qui n’ont aucun respect pour les serveuses. Sans compter les propositions indécentes qu’ils leur font et les jugements que la société fait des filles qui travaillent dans des hôtels, bar et restaurants.
Fatoumata Fofana
When Macdonald does well in class, it usually carries over to her racing and vise versa.sac hermes birkin
This is the case of CXCL1, 2, 3, 5, and 6 [48].mcm duffle bag
There are, of course, a limit to the similarities between Staal and De La Rose.sac hermes birkin
New Orleans Pelicans
Anthony Davis is probably still a year or two away from becoming a top five player in the NBA, but coach Monty Williams and the Pelicans need to start generating sustainable momentum if they are to exploit Davis’s ascendance and become serious contenders in the rugged West.mcm bookbag
4 points per game, and was the stingiest red zone defense in the country (No.timberland boots
Cuba is perhaps one country which could back him, having welcomed Maradona as a regular visitor to his friend Fidel Castro.escarpin louboutin pas cher
tous ces commentaires sont justes et pertinents et félicitation aux mécènes qui a posté son adresse mail pour aider ces filles à avoir d’autres opportunités .j’abonde beaucoup dans le sens du monsieur qui dit qu’il faut que l’État ,la puissance régalienne s’assume pour réglementer ce secteur en obligeant les promoteurs de bars ,hôtels ou restaurant de les inscrire à l’Inps avant de délivrer l’agrément .
LE statut des bonnes doit être révisé en uniformisant leur salaire LE SMIC ne serait pas mal pour un début .
Voilà des cas auxquels doit s’occuper tout Etat de droit digne de ce nom! Ces filles à qui l’Etat n’arrive pas à trouver un emploi digne doivent être protégées par la loi en sanctionnant ces patrons qui ne se comportent pas bien! Un verre cassé ou un client qui se barre sans régler sa note…les responsabilités ne doivent pas être portées par ces seules pauvres filles! 👿
salut Sambou . Tu sais le sort des petites bonnes dans les ménages qui travaillent 12h par jour pour 1000 FCFA par mois nourries logées, c’est un peu pareil ,et quand la femme s’absente le maitre de maison s’offre un droit de cuissage 👿 👿 crois tu que çà soit mieux ? ❓
C vraiment nécessaire d’aider les gens qui sont dans les besoins sur tout les femmes alors je vous laiss mon adress email si vous êtes une femme qui a un p étudier avec un pti niveau faites moi un mail on va essayer d s’aider e il ya une opportunité pour les femmes e c le droit de défenses des femmes e mon email c moudouassa@gmail.com bonne compréhension slt
Serveuse,c’est un travail comme les autres qui mérite le respect.
Face aux propositions indécentes il faut rester calme et inflexible dans son refus sans céder à la violence verbale.
Il faut également se forger une ligne de conduite en respectant certains principes. Ne jamais donner l’occasion aux clients de bavarder avec vous.
Donnez toujours l’impression d’être très pressées et très occupées.
Mes soeurs si vous respectez ces lignes de conduite, personne ne vous embêtera sur votre lieu de travail.
Bsr,je sais que personne n’aimerait voir sa sœur se prostituer!mais bamako est la ville de la dépravation.dans les bureaux comme dans les bars il n y a pas de différence..C’est tout comme ..
les serveuses sont en generale frequentées par les hommes qui doivent etre les garant de ces braves filles .pour amoindrir les effets de ces filles normalisons l’agreement de ces proprietaires de bars et hotels,ce qui permettra une meilleure visibilité professionnel des operateurs.Ouvrons des formations adaptées à la situation des filles pour une meilleure insertion.ex:encourager leur l’inscription à des cours du soir,de couture,de cuisine ,coiffure,etc.
je pense que c est un combat de longue aleine.la societe evolue et nous avec.
revoyons notre malian attitude.
Une serveuse n est pas obligé de se prostitue tout sa dépend de la personne dans la vie situ te respect on te respect
En tout metier il faut savoir se faire respecter. Mais en acceptant de travailler dans un endroit non recommandable, c’est normal que des propositions fusent, surtout indecentes.
C’est el calvaire général et le sauve qui peut. Chacun fait de son mieux pour bien se comporter et survenir à ses besoins.
Conseillons à nos soeurs de ne pas arrêter les études pour un problème de fes.ses ou de snobisme.
Personne ne souhaite se prostitue mais les conditions de vie nous obligent parfois à le faire
Comments are closed.