La dame qui fait actuellement parler d’elle à Bamako, vient de séjourner en Allemagne pour des affaires pas lucides, selon des sources crédibles. Fanta Sangaré dite «Jinètigui Fanta» puisqu’il s’agit d’elle, continue à faire entourer sa vie de mystères. Derrière son personnage loufoque, se cacheraient pleines de choses qui animent les causeries au Mali.
Venue de nulle part, Fanta Sangaré s’est vite versée dans le domaine du mysticisme. Voulant coûte que coûte entrer dans la «Cour des Grands», elle fait désormais partie des gens qui suscitent l’indignation à cause de ses extravagances. Omniprésente dans les manifestations culturelles couvertes par la chaîne de télévision «Afrique Kafri», pardon la chaîne du continent, Africable, Jinètigui Fanta Sangaré était récemment en Allemagne pour un séjour pas comme les autres.
Selon des indiscrétions, elle s’y est rendue avec des produits dont la nature reste méconnue. En outre, elle aurait rencontré certaines personnalités évoluant dans le domaine du proxénétisme. Donc, le séjour germanique a permis aux djinns de Fanta Sangaré de se renforcer et de faire la connaissance de tant d’autres. Constitués en réseaux bien organisés, la dame au regard inquisiteur et ses complices tapis dans l’ombre, ne ratent aucune opportunité pour perpétrer des coups bas.
Fins psychologues, ils savent comment et où il faut battre leurs victimes. Ces dernières aveuglées par la dèche, devenue le quotidien des Maliens, croient à tout. Elles sont si crédules qu’elles accepteraient de faire tout ce que leur demanderaient les prétendus détenteurs de «djinns». En fait, derrière le faux djinn qui sert de «sous couvert», il y a le vrai djinn. Celui qui consiste à s’adonner aux activités pas claires. À vous de deviner le reste. Car, comme le recommandent bien nos sages, «tout ne se dit pas».
En tout cas, on l’a dit et on le répète, les services secrets Maliens et européens doivent coopérer pour voir clair les activités que mène Fanta Sangaré dite «Jinètigui Fanta». Ses moindres mouvements doivent être surveillés.
À suivre…
Issa Santara