Vendredi 28 mars dernier, l’annonce de la présence d’une présumée dame atteinte d’Ebola au centre de santé Communautaire de Faladiè (ASACOFA) a fini par semer la panique dans tout le quartier, y compris, parmi le personnel soignant. Les faits.
Aux environs de 14 h, une dame souffrant d’un mal non identifiée se présente au Centre de santé Communautaire de Faladiè (ASACOFA). Elle se dit nouvellement venue du Libéria et expliqua aux responsables du lieu l’objet de sa visite. En clair, et comme tous les patients, la pauvre dame voulait tout simplement savoir de quoi elle souffrait exactement et bénéficier de soins appropriés.
La seule présence d’une étrangère, venant d’un pays comme le Libéria où des cas de fièvre Ebola ont été signalés, siègeant en ce moment dans les couloirs du centre, ont suffi pour semer la panique. Le plus déplorable et desesperant, fut le cas du personnel sanitaire qui paniqué en premier. Médecins, infirmières, sages-femmes, stagiaires etc., ont tous déserté les lieux. Les autres patients et visiteurs ne pouvaient que les suivre. Les plus courageux, furent ceux-là qui restèrent enfermés dans leur bureau en prenant soin de boucher le nez. En vérité, ils n’avaient pas d’issue. La présumée malade se trouvait dans lecouloir qu’ils devraient emprunter pour fuir.
En quelques minutes, le centre fut vidé de tous ses occupants exceptée la pauvre dame qui ne savait où aller dans la mesure où tout le monde la fuyait.
Et 30 minutes plus tard, la rumeur atteint tout le reste du quartier et l’on assista à un début de mouvement des populations.
Pendant ce temps, la pauvre dame restait dans seule dans une des salles du centre. Il y aurait fallu l’intervention des sapeurs-pompiers pour l’évacuer afin que le calme revienne dans la cité et plus particulièrement au centre de reference… Mais quelle reference ? Selon, des informations complémentaires, il ne s’agissait nullement d’un cas de fièvre Ebola ; mais de betise médicale !
L’on constate, en tout état de cause que les pompiers sont plus courageux que les médecins sur leur propre terrain. Il s’agit tout simplement d’une honte des blouses blanches. Autant dire qu’ils nous abandonneront tous à notre propre sort si jamais…
Djibi
1- Wahou ! C est dur ! Du fond de son lit, Vic propose avoir les yeux plus gros que le vetrne ?
This is a most useful coibuitrtnon to the debate
Les medecins et autres personnel de santé n’ont pas fui, ils ont seulemnt fait un repli tactique.
DJIBRIL doit savoir que Ebola est provoqué par un rétrovirus qu’on ne soigne pas et qui est très très virulent, c’est-à-dire extrêmement contagieux.
Le personnel soignant n’est pas immunisé contre la maladie, et pour faire face aux patients avec suspicion, il leur faut un équipement spécial pour se protéger et donc manipuler les malades sinon, c’est la contamination à coup sûr, donc la mort.
Qui veut mourir ? Personne. Alors, que l’Etat donne de quoi agir aux centres de références, le personnel avisera.
DJIBRIL doit savoir que Ebola est provoqué par un rétrovirus qu’on ne soigne pas et qui est très très virulent, c’est-à-dire extrêmement contagieux. Le personnel soignant n’est pas immunisé contre la maladie, et pour faire face aux patients avec suspicion, il leur faut un équipement spécial pour se protéger et donc manipuler les malades sinon, c’est la contamination à coup sûr, donc la mort.
Qui veut mourir ? Personne. Alors, que l’Etat donne de quoi agir aux centres de références, le personnel avisera.
ils ont le meme denominateur que les militaires fugitifs
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