De nos jours, une jeune dame se trouve être marginalisée par son mari. Après l’avoir chassé du domicile conjugal depuis plus de six mois, il continu en rouler dans la voiture de cette dernière (héritée de son père décédé depuis quelques années) Djénéba Traoré qui ne sait quoi faire pour rentrer en possession de sa voiture est allée se confier au Procureur du Tribunal de Commune VI du District de Bamako.
Abdoulaye Adama Diarra puisque c’est de lui qu’il s’agit (agent commercial dans un magasin de vente de pneu en face de l’Ambassade d’Algérie) se croit être au dessus de la loi. Depuis le week-end dernier l’affaire est portée devant le Procureur Du Tribunal de la Commune VI du District de Bamako. La gendarmerie, principalement la BT de Faladiè qui était chargée de mettre la pauvre dame « Djénéba Traoré » dans ses droits a fait sa mission. Dans un premier temps notamment sur instruction du Commandant de la BT de gendarmerie de Faladiè, le Lieutenant Idias Imick (qui avait mis sur le dossier un de ses éléments) l’homme ingrat avait amené la voiture de marque « Golf » dans la cour de la gendarmerie. Mais comme on le sait, certains ordres du chef ne sont exécutés comme il le souhaite. Et la suite c’est…
Aux dernières nouvelles, il s’avérait que le Procureur de la république du Tribunal de la Commune VI (très respectueux du Droit » aurait décidé de prendre l’affaire en main, afin de mettre la pauvre Djénéba Traoré dans ses droits. Toute chose qui a dû être saluée à l’avance par la maman de Djénéba.
Pour d’amples informations à propos de cette affaire, Abdoulaye Adama Diarra (mari de Djénéba Traoré) après avoir chassé cette dernière (son épouse bien entendu) un jour, s’était rendu au domicile de la maman à cette dernière sis à Faladiè non loin de la Tour de l’Afrique et à proximité du Bar Dragon. Ce jour, suite à des échanges, quelque peu incohérents entre lui et sa femme d’une part et d’autre part entre lui et sa belle mère, il a eu selon des témoins, a frappé sa belle mère, qui tentait d’appeler au secours avec son portable, tout en traitant cette dernière, de…
Il s’avérait qu’à chaque fois qu’il croise son épouse dans la rue, voire quelque part en ville, il se met à l’insulter de façon grossière. Tout cela parce que cette dernière n’a aucun homme derrière elle (le père n’étant plus de ce monde) pour assurer sa défense.
Agent commercial dans un magasin de vente de pneu en face de l’Ambassade d’Algérie, A. A. D se croit au dessus. Mais des informations que nous avons recoupées, il devrait avoir ses raisons. Puisque selon des sources, il serait ami de beaucoup de porteurs d’uniforme (gendarmes, policiers, douaniers entre autres. Aussi il entretiendrait des relations d’amitié avec certaines personnes du monde judiciaire.
D’où cette assurance (tant à la gendarmerie que dans la justice) ponctuée d’une arrogance extrême à l’endroit de la pauvre Djénéba Traoré et de sa maman qui n’ont d’yeux, que de se confier aux vrais hommes de Droit. Sinon comment comprendre, qu’un individu qui reçoit une convocation de la gendarmerie ou de la justice refuse de répondre à la l’appel. Le comportement de ce monsieur montre, qu’il serait au dessus de la Loi. En tout cas, du moins avant qu’il ne soit coincé par le Procureur de la république de la commune VI du District, qui n’entend pas se laisser berner par quiconque dans l’exercice de la mission, qui est confiée par les plus hautes autorités du pays.
Chaque chose a une fin !
On peut dire aujourd’hui, que « pauvre Dame » Djénéba Traoré et sa maman ont trouvé « l’Homme » qui leur manquait pour être mis dans leur droit, en la personne du Procureur de la république de la Commune VI. Reconnu pour son respect dans l’application correcte du Droit légal, l’homme a décidé de prendre cette affaire en main, de mettre la malheureuse Djénéba Traoré dans ses droits. Des informations, il ressort que c’est ce lundi que la pauvre dame devrait renter en possession de sa voiture Golf. L’un des seuls biens qu’elle a hérité de son défunt père. Sachons garder raison, tout en nous mettant en tête, que le bon Dieu nous voit dans tous nos faits et actes !
Par Zhao Ahmed A. Bamba