Faits divers : Une jeune fille de Bamako abandonnée nue dans un bar

    6

    Chaque enfant est l’ambassadeur de sa famille. En effet, Banti, une jeune fille de Bama Da la capitale est à l’image de sa génitrice. Trop ambitieuse, elle a récolté les Pots cassés. Un faux commerçant l’a abandonnée dans un portrait nu  dans une chambre d’un ’hôtel de l’ACI 2000 sans avoir payé les frais de passage. C’est sa  mère D.T qui est  intervenue pour laver l’honneur de la famille.

    Banti est une jeune fille  issue d’une famille pauvre de Bamba Da. 18 ans : taille svelte, les fesses bien galbées, le regard candide et la démarche rappelle sûrement le dernier vers  du poème de Senghor qui  rend un vibrant hommage à la femme noire. Elle avait tout pour séduire les Kamalenbaw de Bamba Da.

    Banti était belle comme les filles de Zeus. Elle avait tout le pouvoir pour faire monter la soupe au nez de quiconque. Tout le monde sait dans son quartier de Sébénicoro, que  Banti  est une fille à succès. On chante même son épopée. Si Banti était un livre, elle serait le bestseller à la Malienne. Tellement qu’elle est fréquentée. Banti même était consciente de sa beauté. « Si tu veux mon corps, tu dois payer le prix qu’il faut », ressassait-elle souvent.

    Jeune mais Banti abandonne l’école. Ce marché qu’elle a trouvé florissant est la preuve d’être promise à une belle et riche carrière. En effet, elle gagnait beaucoup d’argent et des tickets d’essence de plusieurs ministères de la République. C’est vrai que Banti avait du vent en poupe.

    Un triste  jour de malheur. Banti avait rendez-vous. C’était dans une chambre de passe à l’ACI 2000 de Hamdallaye. Au fond de la chambre 6, était cloué, depuis deux heures S.F. Ce jeune de 30 printemps serait un grand commerçant au marché de Médine. En  réalité, il s’agit d’un des vrais bluffeurs qui pullulent la capitale. Banti n’était pas en mesure de se soumettre à une telle lecture. Puisqu’il banquait.

    Il était 10 heures lorsque Banti arriva. La commande de deux boissons est faite au pas de course. Entre-temps, SF envoie Banti acheter  à la boutique une carte de recharge Malitel de 5000F.S.F mit une bonne dose de somnifère dans le vert de sa copine avant qu’elle ne revienne de la mission spéciale. Ce qu’elle consommait jusqu’à la lie. Banti a dormi à poings fermés jusqu’au petit soir, soit 6 heures de sommeil. Le temps pour Air- France de parcourir Bamako-Paris. Peine perdue quand elle se réveilla car, son client avait disparu dans la nature avec ses affaires : téléphone de luxe, Djakarta, la tenue qu’elle  arborait pour mieux paraitre.

    Et c’est par les bons soins de Kanté barman, Banti a pu trouver un moyen pour informer sa mère D.T de ses déboires. Pas de temps à perdre. Cette dernière s’est présentée à l’hôtel quelques minutes plus tard. Histoire de rembourser les frais de location de la chambre que S.F n’avait payés. Telle mère, telle fille.

    Le Grand MADIKAMA

    Commentaires via Facebook :

    6 COMMENTAIRES

    1. Heureusement c’est le GRAND Madikama, parce que si c’était le Petit, qu’est ce que ça serait!!! 😥 😥 😥

      Non seulement cet article est tellement sans interêt qu’on se damande comment des feuilles de chou osent publier de telles conneries, mais de plus, il est écrit et formulé de façon lamentable; Entre les fautes d’orthographe, les fautes de syntaxe, les fautes de ponctuation, et le français souvent “petit nègre”, le lecteur ne sait plus à quel saint vouer son ennui! 😥 😥 😥

      Tant qu’à écrire des foutaises qui n’ont aucun intérêt, Monsieur le GRAND machin, faites-nous au moins l’honneur de les écrire correctement.

    2. Le Grand MADIKAMA,ça c’est une vieille histoire que nous avons lu il y a au moins deux ans sur Maliweb,rien de nouveau.

    Comments are closed.